
En confiant la recherche de la clé de répartition à un comité d’experts à moins d’une semaine du dépôt des listes, les leaders de la Coalition Benno Bokk Yaakaar veulent apparemment éviter un clash. Sinon il n’est pas compréhensible de désigner des experts tard, après que les plénipotentiaires des partis se sont réunis pendant des semaines, sans succès.
Des fuites bien calibrées donnent l’expression d’un consensus peu lointain dans la Coalition Benno Bokk Yaakaar (Bby) en perspective des élections législatives du 1er juillet. Quotas, recours au quotient électoral, mise en place d’un comité d’experts : rien n’est négligé pour paraître uni à travers les médias. Mais ça gronde en sourdine sous l’arbre à palabre de la coalition. La seule force actuelle de Bby est que les frustrations ne dépassent pas encore l’ombre du large feuillage. Mais le compromis n’est pas encore acquis, selon des sources au fait de l’évolution des discussions. Pour se protéger de la furie des éclats d’un probable désaccord, les leaders s’en tiennent maintenant aux conclusions d’un comité d’experts. Celui-ci a la délicate mission de proposer la meilleure option à adopter. Les délais pressent et les levées de bouclier émanent de plus en plus du camp du président de la République, Macky Sall. La mise en place de ce comité révèle l’échec des leaders à trouver un consensus à moins de cinq jours de la date limite de dépôt des listes au ministère de l’Intérieur.
Désormais chaque jour qui passe, la Coalition Macky2012 met la pression sur ses alliés de Bby. Ils sont appuyés dans cette tâche par les cadres de l’Alliance pour la république (Apr) dirigée Macky Sall. La position de président de la République n’a pas permis à leur mentor d’imposer son option en vue des Législatives à savoir laisser chaque département à la coalition qui l’avait remporté au premier tour de l’élection présidentielle. Sa clé de répartition est rejetée par ses alliés. Ceux-ci y voient une arrière-pensée d’un chef de l’exécutif à la recherche d’une puissance parlementaire pour dompter ses alliés. L’offre de Macky a été vite enterrée.
Désormais, la coalition victorieuse de l’élection présidentielle du 25 mars dernier a recours aux mathématiques bâties autour du quotient électoral. Là aussi, ceux qui ont fait le pari d’aller aux élections législatives avec Bby ne veulent pas renoncer à des sièges.
Dans un cas ou dans l’autre, des partis seront lésés. Ils sont trop nombreux pour pouvoir se satisfaire avec des listes communes. Aux leaders de la coalition de constater l’impossibilité du défi de l’unité aux Législatives et de prendre leurs responsabilités au lieu de confier la patate aux experts même, quoique très chaude.
Des fuites bien calibrées donnent l’expression d’un consensus peu lointain dans la Coalition Benno Bokk Yaakaar (Bby) en perspective des élections législatives du 1er juillet. Quotas, recours au quotient électoral, mise en place d’un comité d’experts : rien n’est négligé pour paraître uni à travers les médias. Mais ça gronde en sourdine sous l’arbre à palabre de la coalition. La seule force actuelle de Bby est que les frustrations ne dépassent pas encore l’ombre du large feuillage. Mais le compromis n’est pas encore acquis, selon des sources au fait de l’évolution des discussions. Pour se protéger de la furie des éclats d’un probable désaccord, les leaders s’en tiennent maintenant aux conclusions d’un comité d’experts. Celui-ci a la délicate mission de proposer la meilleure option à adopter. Les délais pressent et les levées de bouclier émanent de plus en plus du camp du président de la République, Macky Sall. La mise en place de ce comité révèle l’échec des leaders à trouver un consensus à moins de cinq jours de la date limite de dépôt des listes au ministère de l’Intérieur.
Désormais chaque jour qui passe, la Coalition Macky2012 met la pression sur ses alliés de Bby. Ils sont appuyés dans cette tâche par les cadres de l’Alliance pour la république (Apr) dirigée Macky Sall. La position de président de la République n’a pas permis à leur mentor d’imposer son option en vue des Législatives à savoir laisser chaque département à la coalition qui l’avait remporté au premier tour de l’élection présidentielle. Sa clé de répartition est rejetée par ses alliés. Ceux-ci y voient une arrière-pensée d’un chef de l’exécutif à la recherche d’une puissance parlementaire pour dompter ses alliés. L’offre de Macky a été vite enterrée.
Désormais, la coalition victorieuse de l’élection présidentielle du 25 mars dernier a recours aux mathématiques bâties autour du quotient électoral. Là aussi, ceux qui ont fait le pari d’aller aux élections législatives avec Bby ne veulent pas renoncer à des sièges.
Dans un cas ou dans l’autre, des partis seront lésés. Ils sont trop nombreux pour pouvoir se satisfaire avec des listes communes. Aux leaders de la coalition de constater l’impossibilité du défi de l’unité aux Législatives et de prendre leurs responsabilités au lieu de confier la patate aux experts même, quoique très chaude.
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