
Outre ses conseils à Valérie Trierweiler et l'avenir politique de son mari, Carla Bruni-Sarkozy est revenue sur la période difficile qui a suivi la naissance de sa fille Giulia, dans son interview vérité accordée à Elle. La campagne présidentielle française reste un moment douloureux pour l'ancienne Première dame, qui venait d'accoucher. Elle confie que la maternité la laisse à chaque fois "défaite physiquement et psychologiquement". "Ça a été une période difficile: je voulais soutenir mon mari pendant la campagne et, en même temps je ne voulais pas sortir, je ne voulais pas qu'on me prenne en photo, j'avais envie de pleurer de fatigue, j'étais fragile. Je n'étais heureuse qu'en famille et le contraste entre la douceur de la vie à la maison avec le bébé et la brutalité du monde extérieur a été violent." Carla a été blessée "par les attaques personnelles, sur mon physique par exemple. Je trouve limite qu'on utilise ces arguments dans le combat politique. J'en profite pour 'remercier' cet aimable photographe qui a publié une photo de moi avec 20 kilos de trop, à peine sortie de la maternité. Je dormais deux heures par nuit, j'avais le visage bouffi de fatigue. Après une grossesse, on est épuisée, surtout à 43 ans." La femme de Nicolas Sarkozy se défend enfin d'avoir subi un lifting. "J'ai fait affiner mon nez quand j'étais jeune mannequin, c'est vrai et ce n'est pas un secret. Je le trouvais rond et pas très photogénique. Et puis je n'ai plus rien retouché de ma vie et je ne retoucherai plus jamais rien", assure Carla, qui reconnaît qu'elle prend soin de sa peau et évite le soleil. "Je n'aime pas particulièrement vieillir mais je ne crois pas que je succomberai au lifting, j'ai trop peur d'un ratage, je ne trouve pas la chirurgie tellement au point."
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