
A la question de savoir s’il est victime des « Samba Mbayanne », le promoteur répond que « oui, tout à fait». « Il m’a certes chanté, mais je me dis que cela n’a absolument rien à voir avec la dette qu’il a contractée auprès de moi (…) Il m’a chanté dans son tube Blokass, pensant peut-être que cela contribuerait à diminuer le prix de vente du 4x4»,explique-t-il.
Quant à sa détermination, M. Lo explique que « cette voiture m’appartient et je peux la reprendre légalement. Mais je ne vais pas le faire, je laisse la justice tirer cette affaire au clair. Retenez juste que j’ai entamé des actions judiciaires. J’ai engagé des avocats comme Me El Hadji Diouf.
Il en est de même du premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye. Au Sénégal il y a la Division des Investigations Criminelles (Dic), et tous les moyens pour réparer les torts. Tant que c’est légal, je vais tous les utiliser ». Babacar Lo porte les mêmes accusations contre l’homme d’affaires Alioune Mbaye Petit, qui lui devrait de l’argent. « Je suis resté deux ans sans avoir de ses nouvelles. C’est quand il a pris la fuite pour se refugier aux Etats-Unis que notre histoire a éclaté au grand jour. Il me devait 50 millions de francs », assure le producteur.
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