
Le journal Quotidien s’est intéressé au cadre de vie des habitants de l’Unité 2 des Parcelles Assainies, un quartier où l’assainissement n’est pas toujours au rendez-vous
20 ans de calvaire, « ça suffit », ont tonné les habitants des localités de Fadia et Guentaba qui ont investi les rues et exprimé leur ras-le-bol devant l’état de leur cadre de vie pas très reluisant. Ils déplorent l’état de leurs routes défectueuses, conjugué à l’insécurité et à l’insalubrité.
Par ces périodes d’inondations, il ne fait pas bon circuler ou habiter dans certaines localités des Parcelles (non) Assainies, estiment certains habitants. Une situation devenu invivable pour ces protestataires qui ont battu le macadam et réclamé « la réfection immédiate de la route, un système de collecte d’ordures et l’assainissement ». Parce que « les mosquées sont remplies et l’eau est mélangée à des tas d’ordures », alors que l’insécurité gagne du terrain, « les agresseurs dictent leur loi », au point que les populations restent cloîtrées chez elles, à en croire Babacar Mbaye, le coordonnateur du cadre de concertation citoyenne pour la défense des intérêts des Parcelles.
« Nous sommes maudits par les autorités, c’est comme si nous ne sommes pas des citoyens, cela fait 20 ans que ça dure. Vu ce que les autorités amassent au cours des marchés hebdomadaires, soit 9 milliards en 7 ans, la route pouvait être réfectionnée », constate-t-il, amer, dans l'attente d'une réaction éventuelle des autorités…
20 ans de calvaire, « ça suffit », ont tonné les habitants des localités de Fadia et Guentaba qui ont investi les rues et exprimé leur ras-le-bol devant l’état de leur cadre de vie pas très reluisant. Ils déplorent l’état de leurs routes défectueuses, conjugué à l’insécurité et à l’insalubrité.
Par ces périodes d’inondations, il ne fait pas bon circuler ou habiter dans certaines localités des Parcelles (non) Assainies, estiment certains habitants. Une situation devenu invivable pour ces protestataires qui ont battu le macadam et réclamé « la réfection immédiate de la route, un système de collecte d’ordures et l’assainissement ». Parce que « les mosquées sont remplies et l’eau est mélangée à des tas d’ordures », alors que l’insécurité gagne du terrain, « les agresseurs dictent leur loi », au point que les populations restent cloîtrées chez elles, à en croire Babacar Mbaye, le coordonnateur du cadre de concertation citoyenne pour la défense des intérêts des Parcelles.
« Nous sommes maudits par les autorités, c’est comme si nous ne sommes pas des citoyens, cela fait 20 ans que ça dure. Vu ce que les autorités amassent au cours des marchés hebdomadaires, soit 9 milliards en 7 ans, la route pouvait être réfectionnée », constate-t-il, amer, dans l'attente d'une réaction éventuelle des autorités…
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