Le Sénégal et la République démocratique du Congo (Rdc) se retrouvent, le 3 septembre prochain, au stade Léopold Sédar Senghor. Cette rencontre qui compte pour la 5e journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (Can) 2012 de football est si importante que la Caf (Confédération africaine de football) lui accordent une attention particulière.
Selon le président de la Fédération sénégalaise de football (Fsf), Me Augustin Senghor, «cette rencontre a été placée par la Caf comme un match à hauts risques». «C’est un match de qualification important du fait qu’il y avait des débordements, lors de la dernière sortie de l’équipe nationale, à Dakar. Ce qui nous a valu une sanction de 5000 dollars. Et c’est Walter Gags, un officier de sécurité d’excellence de la Fifa, qui a été commis pour ce match», informe le président de la Fsf.
Ainsi, pour éviter que de plus lourdes sanctions soient infligées au football sénégalais, les fédéraux ont pris les devants pour s’assurer de toutes les garanties nécessaires. «Nous avons pris les dispositions pour mobiliser 350 gendarmes, 400 éléments du Gmi, 80 policiers en civil, 80 sapeurs en plus du dispositif de sécurité dans les hôtels des deux équipes», rassure Me Senghor.
Après avoir tiré les leçons de l’organisation du match Sénégal-Cameroun, du 26 mars, la Fsf a décidé de réglementer l’occupation de la main courante. «On a constaté qu’il y avait trop de gens dont on ne sait quel est leur rôle. Chacun voulant être au ras du gazon. On va être regardant et en n’y acceptant que les seules personnes qui ont des tâches précises», prévient-t-il.
Des garde-fous pour fermer le marché noir
À quelque chose malheur est bon. Et les responsables fédéraux l’ont si bien compris qu’il a été décidé de commercialiser des billets à des prix abordables. C’est parce que les coûts ont été tellement exorbitants que le stade Léopold Senghor a été déserté par le public lors de la réception du Maroc en amical.
«Nous avons prévu de revoir les prix à la baisse. On sortira du Ramadan et les Sénégalais sont éprouvés aussi bien physiquement que financièrement. À l’unanimité, on a décidé de fixer des prix promotionnels», explique le patron du football national.
Et à moins d’un changement de dernière minute, les billets seront mis en vente, dès mardi prochain. Mais des mesures draconiennes sont prises pour combattre le marché noir. «Ce sera un match à guichets fermés. Personne ne pourra acheter plus de cinq tickets en même temps. Il est interdit de vendre des billets au stade, le jour du match. Les escadrons de la police et de la gendarmerie veilleront tout autour du stade pour combattre les revendeurs», alerte Me Senghor qui révèle qu’un revendeur lui avait proposé un ticket de loge.
Toujours sur le plan sécuritaire, «tous les objets dangereux ne seront pas acceptés à l’intérieur du stade». Mais cette mesure ne concerne pas les batteurs et les animateurs qui seront autorisés à faire entrer leurs instruments de supporters.
Selon le président de la Fédération sénégalaise de football (Fsf), Me Augustin Senghor, «cette rencontre a été placée par la Caf comme un match à hauts risques». «C’est un match de qualification important du fait qu’il y avait des débordements, lors de la dernière sortie de l’équipe nationale, à Dakar. Ce qui nous a valu une sanction de 5000 dollars. Et c’est Walter Gags, un officier de sécurité d’excellence de la Fifa, qui a été commis pour ce match», informe le président de la Fsf.
Ainsi, pour éviter que de plus lourdes sanctions soient infligées au football sénégalais, les fédéraux ont pris les devants pour s’assurer de toutes les garanties nécessaires. «Nous avons pris les dispositions pour mobiliser 350 gendarmes, 400 éléments du Gmi, 80 policiers en civil, 80 sapeurs en plus du dispositif de sécurité dans les hôtels des deux équipes», rassure Me Senghor.
Après avoir tiré les leçons de l’organisation du match Sénégal-Cameroun, du 26 mars, la Fsf a décidé de réglementer l’occupation de la main courante. «On a constaté qu’il y avait trop de gens dont on ne sait quel est leur rôle. Chacun voulant être au ras du gazon. On va être regardant et en n’y acceptant que les seules personnes qui ont des tâches précises», prévient-t-il.
Des garde-fous pour fermer le marché noir
À quelque chose malheur est bon. Et les responsables fédéraux l’ont si bien compris qu’il a été décidé de commercialiser des billets à des prix abordables. C’est parce que les coûts ont été tellement exorbitants que le stade Léopold Senghor a été déserté par le public lors de la réception du Maroc en amical.
«Nous avons prévu de revoir les prix à la baisse. On sortira du Ramadan et les Sénégalais sont éprouvés aussi bien physiquement que financièrement. À l’unanimité, on a décidé de fixer des prix promotionnels», explique le patron du football national.
Et à moins d’un changement de dernière minute, les billets seront mis en vente, dès mardi prochain. Mais des mesures draconiennes sont prises pour combattre le marché noir. «Ce sera un match à guichets fermés. Personne ne pourra acheter plus de cinq tickets en même temps. Il est interdit de vendre des billets au stade, le jour du match. Les escadrons de la police et de la gendarmerie veilleront tout autour du stade pour combattre les revendeurs», alerte Me Senghor qui révèle qu’un revendeur lui avait proposé un ticket de loge.
Toujours sur le plan sécuritaire, «tous les objets dangereux ne seront pas acceptés à l’intérieur du stade». Mais cette mesure ne concerne pas les batteurs et les animateurs qui seront autorisés à faire entrer leurs instruments de supporters.
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