
Les étudiantes sont dans le collimateur des pervers sexuels. Dans les rues, quartiers qui juxtaposent l’Université de Dakar (Ucad) à des heures précises et jours donnés que de belles voitures et de beaux gars. Les hommes à la recherchent de petites filles pas mures et raffinées font la ronde.
Pour dire que loin de la condition difficile de vie que mènent ces étudiantes, un autre facteur contribue à la perversité de cette grande école. La gente féminine qui arborent ces artères misent loin et ont leur préférence sur ou se loge la fille abordée. Une belle demoiselle en première année à la faculté des lettres et sciences humaines affirme avoir rencontré un jour au quartier de Point E un homme d’une cinquantaine d’années, ce dernier l’a interpellé pour une partie de drague.
Ce qui la surprise c’est la première question du vieux. « Tu loges ou ? Tu es étudiante ?».Elle affirme son statut et pour l’autre question, elle dit ne pas être pensionnaire dans la cité des jeunes filles. Le vieux continue en disant que ce n’était pas essentiel, ce qui importe c’est qu’il aime et veut l’épouser. Elle accepte et la présente à sa famille.
Après quatre mois de relation le vieux demande à la dernière de passer à la vitesse supérieure. Sous prétexte qu’avant de l’épouser ils doivent se donner du plaisir, tels étaient ces mots. « Soit on assume notre relation en étant des aimants sinon on se casse ». Elle le reconnait, il prenait soin d’elle, habillement, argent de poches, restaurants chics, c’était le conte de fée. Un conte qu’elle devait échanger avec sa dignité si elle voulait que cela continu
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