
Sur 3000 «cars rapides» et «Ndiaga Ndiaye» à renouveler avant fin 2013, 807 le sont actuellement en attendant les 200 qui vont arriver à la fin du mois. Ce qui va faire un total de 1007 véhicules.
1993 «cars rapides» et «Ndiaga Ndiaye» à faire disparaître de la
circulation avant 2013 pour atteindre l'objectif de renouvellement total
du parc de ce type de transport en commun. Tel est le chemin qui reste à
parcourir pour l'Association de financement des transports urbains
(Aftu). Aujourd'hui, c'est au total 807 «cars rapides» et «Ndiaga
Ndiaye» qui ont été retirés du circuit et envoyés à la casse, pour être
remplacés par 505 minibus Tata et 302 bus King Long. Un nombre qui va
être porté à 1007 véhicules d'ici à la fin du mois, avec l'arrivée de
100 autres Tata et 100 King Long.
Mieux, les premiers 105 Tata réceptionnés en 2005 ont été totalement remboursés fin mai dernier. Ce qui constitue, selon le président de Aftu, El Hadji Abdoulaye Guèye, une preuve éclatante du sérieux des transporteurs et un cinglant démenti à tous ceux qui taxaient les transporteurs de mauvais payeurs. Ce qui est une source de satisfaction de l'Aftu qui a organisé, ce week-end, une journée des transporteurs urbains de Dakar, pour rendre un vibrant hommage à son président El Hadji Abdoulaye Guèye. Content des avancées qu'il a fait faire à leur association, ses amis n'ont pas lésiné sur les moyens et lui ont offert comme cadeau une rutilante voiture 4x4. Un cadeau qui est venu s'ajouter à une pile faite par d'autres acteurs.
La réussite du projet des Tata parle à travers les chiffres, indique le Secrétaire général adjoint de Aftu, Djiby Ndiaye, qui fait état de 400 000 personnes transportées par jour, 2400 emplois directs créés, 300 emplois indirects avec les nombreux opérateurs que sont les restaurateurs etc. Selon M. Ndiaye, avec les Tata, de nombreuses populations sont sorties de l'enclavement aujourd’hui avec l'ensemble des lignes desservies. Un projet dont la réussite, selon M. Ndongo Fall, Pca de la mutuelle Mectrans créée par cette structure, est également visible à travers l’accompagnement de cette dernière forte de 3085 membres. Ils sont essentiellement composés des chauffeurs, receveurs, transporteurs etc.
Le nombre de «cars rapides» et «Ndiaga Ndiaye» à changer reste, de l'avis du Secrétaire général du syndicat, Modou Mboup, un pari très réalisable. Parce que pour accélérer les choses, des arrivages auront lieu tous les 6 mois. Le projet qui a touché maintenant Touba va être étendu aux autres régions avec Kaolack, Thiès, Saint-Louis, selon M. Mboup qui fait également état d'un programme de taxis qui sera lancé dans la banlieue dans 3 mois.
Mieux, les premiers 105 Tata réceptionnés en 2005 ont été totalement remboursés fin mai dernier. Ce qui constitue, selon le président de Aftu, El Hadji Abdoulaye Guèye, une preuve éclatante du sérieux des transporteurs et un cinglant démenti à tous ceux qui taxaient les transporteurs de mauvais payeurs. Ce qui est une source de satisfaction de l'Aftu qui a organisé, ce week-end, une journée des transporteurs urbains de Dakar, pour rendre un vibrant hommage à son président El Hadji Abdoulaye Guèye. Content des avancées qu'il a fait faire à leur association, ses amis n'ont pas lésiné sur les moyens et lui ont offert comme cadeau une rutilante voiture 4x4. Un cadeau qui est venu s'ajouter à une pile faite par d'autres acteurs.
La réussite du projet des Tata parle à travers les chiffres, indique le Secrétaire général adjoint de Aftu, Djiby Ndiaye, qui fait état de 400 000 personnes transportées par jour, 2400 emplois directs créés, 300 emplois indirects avec les nombreux opérateurs que sont les restaurateurs etc. Selon M. Ndiaye, avec les Tata, de nombreuses populations sont sorties de l'enclavement aujourd’hui avec l'ensemble des lignes desservies. Un projet dont la réussite, selon M. Ndongo Fall, Pca de la mutuelle Mectrans créée par cette structure, est également visible à travers l’accompagnement de cette dernière forte de 3085 membres. Ils sont essentiellement composés des chauffeurs, receveurs, transporteurs etc.
Le nombre de «cars rapides» et «Ndiaga Ndiaye» à changer reste, de l'avis du Secrétaire général du syndicat, Modou Mboup, un pari très réalisable. Parce que pour accélérer les choses, des arrivages auront lieu tous les 6 mois. Le projet qui a touché maintenant Touba va être étendu aux autres régions avec Kaolack, Thiès, Saint-Louis, selon M. Mboup qui fait également état d'un programme de taxis qui sera lancé dans la banlieue dans 3 mois.
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