Préparation:
«Chaque combat a sa propre préparation. Celui-ci veut qu’on ne quitte pas le pays car, le Sénégal commence à avoir toutes les infrastructures qu’on cherchait en Europe. Je ne sais même pas si j’ai perdu ou gagner du poids. Je m’entraîne selon mon feeling. Je me sens bien, je suis en bonne forme et la blessure Alhamdoulilah ça va. On est prêt pour le jour J».
L’adversaire, Balla Gaye 2:
«Nous sommes des sportifs et le sport demande du respect. Je ne peux pas parler de lui. Comment on peut parler de soutient de lutteur? Il est le plus habileté à ce sujet car, il a des parents lutteurs. Il faut respecter la personne de Yékini. Il n’a qu’à faire ce qu’il doit faire ou moi de mon côté j’en ferais autant. Ce qui nous lie, c’est le jour du combat, quand l’arbitre nous demandera si on est prêts avant de siffler et de sortir entre nous deux. Et comme disait Bob Marley «Time will tell» (le temps nous dira). Le 31 juillet n’est plus loin et tout le monde a entendu ce que chacun de nous a dit».
L’état d’esprit:
«Un seul mot d’ordre «Gagner» si Dieu le veut. Et si je ne crois pas en ça, je n’allais pas le dire. Ce combat a la même valeur que mes précédents combats. Quand on est ancien dans quelque chose, on a assez d’expérience pour ne pas trop se fatiguer ou avoir de la pression. La question d’être totalement prêt requiert de la volonté divine mais on fera de notre mieux pour l’être le jour J».
Affaire Eumeu Séne:
«Je pense que les personnes habilitées en à parler l’ont déjà fait et nous avons des parents. Aujourd’hui ce qui est le plus important est que Dieu a fait que tout c’est bien passé. C’était juste une incompréhension et Alhamdoulilah tout ça est rentré dans l’ordre, plus personne n’en parle.
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