
Bercy a failli être perturbé par un accident de la circulation. En effet, en se rendant au palais omnisport où la cérémonie se déroulait, Bouba Ndour a fait un accident. Il s’en est tiré sans grand dommages. Le frère de Youssou Ndour a pu assister au «Grand-Bal» avant de retourner à l’hôtel. Une fois dans sa chambre, il a piqué une crise. Les membres du staff de Youssou Ndour ont vite fait d’alerter les responsables de l’hôtel qui ont appelé les secours. Le frère du lead-vocal du « Super étoile» a été acheminé à l’hôpital où il a reçu des soins. Aux dernières nouvelles, il se serait bien remis.
Près de 500 millions dépensés
Pour l’organisation du «Grand Bal» de Bercy, Youssou Ndour a mobilisé beaucoup d’argent. Argent provenant de ses sponsors, de ses amis et alliés. C’est ainsi, lors du point de presse qu’il a tenu après le Bal de Bercy, Youssou Ndour a déclaré que la soirée lui a couté 744.000 euros (483.600.000 CFA). L’Etat du Sénégal, via le ministère de la Culture, a contribué à hauteur de 50.000 euros, soit 32.500.000 FCFA. La mairie de Dakar a déboursé 15 millions.
Gaston Mbengue hué
Quelqu’un que le public de Bercy ne porte pas dans son cœur, c’est bien le promoteur de lutte Gaston Mbengue, qui a fait le déplacement à Bercy avec les lutteurs Balla Bèye II et Balla Gaye II qui s’affronteront le 1e août prochain.
Dès que Gaston Mbengue s’est montré, ce sont des huées qui l’ont accueilli. Durant toute la soirée, à chaque fois que son nom est prononcé, c’est par des huées que le public répond. Le tambour major de «Super Etoile», Mbaye Dièye Faye, gêné, a ainsi supplié les spectateurs de cesser les huées.
Bagarre évitée entre Baboye et Ndéye Marie Ndiaye Gawlo
Le lutteur Balla Bèye et la chanteuse Ndèye Marie Ndiaye Gawlo se sont donné en spectacle dans leur hôtel, Ibis, Porte d’Italie. Ils ont échangé des propos aigres doux et n’eut été la prompte intervention des employés de l’hôtel, Baboye allait cocher la chanteuse.
C’est Ndèye Marie Ndiaye Gawlo qui a déclenché les hostilités, reprochant au lutteur de ne pas répondre à ses salutations. Le ton n’a pas plu au lutteur qui le lui a signifié. Les nerfs se sont chauffés et les propos ont volé bas. Comme Baboye sait mieux parler avec les muscles que de claquer la langue, il a naturellement bandé les biceps. Mais il n’ira pas jusqu’à cogner, prié qu’il a été de rejoindre sa chambre. Finalement, ils ont compris qu’il s’agissait juste d’une incompréhension. De bonnes volontés les ont réconciliés et tout est rentré dans l’ordre.
0 Commentaires
Participer à la Discussion