
Né il y a 34 ans d’un père sénégalais et d’une mère mauritanienne, tous les deux peuls, Ahmed Agne qui vit en France a monté, en 2003, une maison d’éditions de mangas, rapport le site de Rfi. Passionné de bandes dessinées, Ahmed Agne s’est hissé en seulement 7 ans dans le milieu au premier rang des éditeurs indépendants français avec sa maison d’éditions «Ki-oon».
«’Ki-oon’ signifie en japonais avoir le cœur gonflé d’émotions, que cela soit de joie ou de tristesse, cela couvre tout le spectre du manga, du rire aux larmes», explique le premier éditeur indépendant de mangas en France. S’exprimant aussi en japonais, langue qu’il parle couramment, il travaille également en collaboration avec des éditeurs japonais pour ses bandes dessinées. «Je travaille avec des éditeurs et des auteurs japonais. Et pour ne pas être confiné au marché français, je parle couramment japonais, Je vais aussi là-bas pour chercher des gens qui me repèrent des auteurs japonais», dit Ahmed Ange, selon qui les Japonais ne sont pas très ouverts aux personnes qui ne parlent pas leur langue. «Ils sont beaucoup plus soft avec nous qui parlons japonais que nos concurrents, ils sont moins méfiants». Du coup, c’est une bonne chose pour les affaires.
Pour ce qui est de son catalogue, de sa ligne de bandes dessinées, Agne argue que c’est très structuré. «C’est une ligne pour les filles, les garçons, les ados, les adultes. C’est un grand bordel, je dirais, il y a du thriller, du fantastique, des contes pour enfants, des fresques sociales, un peu du tout», confie cet aîné d’une fratrie de 6 membres, musulman pratiquant qui clame haut et fort qu’il n’a pas oublié ses origines peules, même si la manière dont il s’exprime dans cette langue est catastrophique. Il utilise d’ailleurs dans ses mangas des musiques africaines, telles «Yaadou» du Guinéen Doura Barry «qui parle de l’importance de ne pas oublier ses racines, de ne pas oublier d’où l’on vient quand on part à l’étranger comme mon cas», souligne-t-il. Le chanteur nigérian Keziah Jones fait également partie de ses choix musicaux. Ahmed Agne utilise aussi la musique de Michaël Jackson notamment «I wanna be where you are» et «Red Hot Chili Peppers».
Parmi les Mangas qu’il a édités, il faut noter le jeu de massacre de Yoshiki Tonogai «Bride Stories», «Run day Burst», le thriller surnaturel «The Innocent», «Tales of the Abyss», «Hell Blade», nouveau thriller avec «Judge» etc.
«’Ki-oon’ signifie en japonais avoir le cœur gonflé d’émotions, que cela soit de joie ou de tristesse, cela couvre tout le spectre du manga, du rire aux larmes», explique le premier éditeur indépendant de mangas en France. S’exprimant aussi en japonais, langue qu’il parle couramment, il travaille également en collaboration avec des éditeurs japonais pour ses bandes dessinées. «Je travaille avec des éditeurs et des auteurs japonais. Et pour ne pas être confiné au marché français, je parle couramment japonais, Je vais aussi là-bas pour chercher des gens qui me repèrent des auteurs japonais», dit Ahmed Ange, selon qui les Japonais ne sont pas très ouverts aux personnes qui ne parlent pas leur langue. «Ils sont beaucoup plus soft avec nous qui parlons japonais que nos concurrents, ils sont moins méfiants». Du coup, c’est une bonne chose pour les affaires.
Pour ce qui est de son catalogue, de sa ligne de bandes dessinées, Agne argue que c’est très structuré. «C’est une ligne pour les filles, les garçons, les ados, les adultes. C’est un grand bordel, je dirais, il y a du thriller, du fantastique, des contes pour enfants, des fresques sociales, un peu du tout», confie cet aîné d’une fratrie de 6 membres, musulman pratiquant qui clame haut et fort qu’il n’a pas oublié ses origines peules, même si la manière dont il s’exprime dans cette langue est catastrophique. Il utilise d’ailleurs dans ses mangas des musiques africaines, telles «Yaadou» du Guinéen Doura Barry «qui parle de l’importance de ne pas oublier ses racines, de ne pas oublier d’où l’on vient quand on part à l’étranger comme mon cas», souligne-t-il. Le chanteur nigérian Keziah Jones fait également partie de ses choix musicaux. Ahmed Agne utilise aussi la musique de Michaël Jackson notamment «I wanna be where you are» et «Red Hot Chili Peppers».
Parmi les Mangas qu’il a édités, il faut noter le jeu de massacre de Yoshiki Tonogai «Bride Stories», «Run day Burst», le thriller surnaturel «The Innocent», «Tales of the Abyss», «Hell Blade», nouveau thriller avec «Judge» etc.
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