
Le torchon brûle entre Souleymane Faye alias «Diego» et le mythique groupe de variétés, le Xalam. Aujourd'hui, les anciens potes se regardent en chiens de faïence. Une malheureuse histoire de plagiat a réussi à fissurer l'émail de la relation veille de 40 ans. Souleymane Faye : «Depuis 20 ans, ils (les membres du Xaam) touchent mes droits d'auteur et ils les bouffent. Pourtant, ils savent que c'est moi l'auteur. J'ai saisi la justice pour réparer le tort. Le Bsda doit nous entendre ce mercredi 29 juin à 15H pour essayer de régler l'affaire à l'amiable», lâche-t-il, le ton posé, au bout du fil. Pourtant, tout semblait bien parti après les retrouvailles du groupe en août 2008.
Entre Souleymane Faye alias «Diego», qui porte depuis longtemps la pancarte (imméritée ?) de parolier et de chanteur du Xalam, et le mythique groupe de variétés, les face-à-face ont toujours fait des étincelles … d'extase. Et la passion commune pour la musique avait toujours réussi à prendre le dessus sur les hommes, comme si la bande, amis depuis des lustres, était faite pour toujours s'entendre. Envers et contre tout.
Souleymane Faye ne s'est jamais senti obligé, par exemple, d'enregistrer auprès du Bureau sénégalais des droits d'auteurs (Bsda), ses œuvres («Dolé», «Keur gui», «Kharit», «Sama Way», «Nitou tay» etc.) jouées lors de leurs différentes prestations par le Xalam. Qui ne s'est pas privé, non plus, de se les approprier. «J'ai composé ces 6 chansons et pourtant, le Xalam a déclaré tous ces titres en son nom. Aujourd'hui, quand je me rends au Bsda, on me dit que toutes ces chansons sont déclarées au nom du Xalam», déplorait Souleymane Faye, auteur-compositeur, dans les colonnes de L'Observateur du 22 mai 2011.
Tapha Cissé, membre du Xalam, soutenait dans un entretien avec Walf Grand'Place (21 décembre 2009) que «tous les morceaux que Souleymane a chantés avec nous, il les a trouvés déjà faits. Il n'a fait que mettre sa voix. Il ne peut pas les jouer avec quelqu'un d'autre».
«Diego», qui a subi ce snobisme comme un affront, s'est retroussé les manches et a décidé de porter l'affaire devant les tribunaux. Pour, dit-il, «réparer le tort». En attendant, c'est le Bsda qui tente de sauver le sort d'un compagnonnage de 40 ans.
Entre Souleymane Faye alias «Diego», qui porte depuis longtemps la pancarte (imméritée ?) de parolier et de chanteur du Xalam, et le mythique groupe de variétés, les face-à-face ont toujours fait des étincelles … d'extase. Et la passion commune pour la musique avait toujours réussi à prendre le dessus sur les hommes, comme si la bande, amis depuis des lustres, était faite pour toujours s'entendre. Envers et contre tout.
Souleymane Faye ne s'est jamais senti obligé, par exemple, d'enregistrer auprès du Bureau sénégalais des droits d'auteurs (Bsda), ses œuvres («Dolé», «Keur gui», «Kharit», «Sama Way», «Nitou tay» etc.) jouées lors de leurs différentes prestations par le Xalam. Qui ne s'est pas privé, non plus, de se les approprier. «J'ai composé ces 6 chansons et pourtant, le Xalam a déclaré tous ces titres en son nom. Aujourd'hui, quand je me rends au Bsda, on me dit que toutes ces chansons sont déclarées au nom du Xalam», déplorait Souleymane Faye, auteur-compositeur, dans les colonnes de L'Observateur du 22 mai 2011.
Tapha Cissé, membre du Xalam, soutenait dans un entretien avec Walf Grand'Place (21 décembre 2009) que «tous les morceaux que Souleymane a chantés avec nous, il les a trouvés déjà faits. Il n'a fait que mettre sa voix. Il ne peut pas les jouer avec quelqu'un d'autre».
«Diego», qui a subi ce snobisme comme un affront, s'est retroussé les manches et a décidé de porter l'affaire devant les tribunaux. Pour, dit-il, «réparer le tort». En attendant, c'est le Bsda qui tente de sauver le sort d'un compagnonnage de 40 ans.
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