Des appels au calme et à la transparence ont été lancés dans le pays avant ce scrutin tant attendu.
Macky Sall fait figure de favori après avoir reçu le soutien de l'ensemble de l'opposition et de nombreuses organisations de la société civile.
"La défaite du président Wade est inévitable, nous n'accepterons pas qu'il confisque les suffrages des Sénégalais", a-t-il déclaré au cours de son dernier meeting.
La campagne pour le second tour, qui s'est achevée dans le calme vendredi, a été entachée d'incidents mineurs.
Ces incidents ne sont toutefois pas comparables aux violences ayant marqué la période précédant le premier tour du 26 février qui avaient fait, selon les sources, entre 6 et 15 morts, et quelque 150 blessés.
Abdoulaye Wade, 85 ans et au pouvoir depuis 2000, a renouvelé son engagement en faveur d'une élection "transparente et exemplaire".
Quelque 300 observateurs étrangers ont été déployés dans le pays pour surveiller ce vote.
Macky Sall fait figure de favori après avoir reçu le soutien de l'ensemble de l'opposition et de nombreuses organisations de la société civile.
"La défaite du président Wade est inévitable, nous n'accepterons pas qu'il confisque les suffrages des Sénégalais", a-t-il déclaré au cours de son dernier meeting.
La campagne pour le second tour, qui s'est achevée dans le calme vendredi, a été entachée d'incidents mineurs.
Ces incidents ne sont toutefois pas comparables aux violences ayant marqué la période précédant le premier tour du 26 février qui avaient fait, selon les sources, entre 6 et 15 morts, et quelque 150 blessés.
Abdoulaye Wade, 85 ans et au pouvoir depuis 2000, a renouvelé son engagement en faveur d'une élection "transparente et exemplaire".
Quelque 300 observateurs étrangers ont été déployés dans le pays pour surveiller ce vote.
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