
«Ce qui se passe au [Pad] est un drame social, regrette Abdou Ndiaye, un des syndicalistes, repris par Les Échos. À l'heure où je vous parle, 781 personnes ont été renvoyées. Elles sont sans emploi depuis l'annonce de l'audit.»
Ndiaye ne rate pas le directeur général du Pad, Wally Diouf Bodian, martelant qu'il «recrute des Cdi alors qu'il y a des agents qui ont rempli les conditions après plusieurs Cdd».
30 Commentaires
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il y a 3 semaines (10:31 AM)Reply_author
il y a 3 semaines (10:33 AM)Reply_author
il y a 3 semaines (10:40 AM)Au pouvoir sans savoir que le mensonge ne les maintiendra pas au
Pouvoir. Les Sénégalais ont faim, la vie est chère
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il y a 3 semaines (10:50 AM)Reply_author
il y a 3 semaines (18:21 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (10:33 AM)Penda
il y a 3 semaines (11:16 AM)Ne pas oublier la période des gentlmans civilisés roublards du ps.
Voilà résumé l'histoire du Sénégal dans la forme.
Mais le fond reste le même: une histoire de GANG. Un gang remplace un autre gang avec comme objectif unique: TRANSFORMER LE SÉNÉGAL EN RÉPUBLIQUE DE COPAINS ET DE COQUINS
Il n'y aura pas de développement.
Actuellement c'est la phase AU THÉÂTRE CE SOIR.
PAUVTE PAYS
Penda
il y a 3 semaines (11:16 AM)Ne pas oublier la période des gentlmans civilisés roublards du ps.
Voilà résumé l'histoire du Sénégal dans la forme.
Mais le fond reste le même: une histoire de GANG. Un gang remplace un autre gang avec comme objectif unique: TRANSFORMER LE SÉNÉGAL EN RÉPUBLIQUE DE COPAINS ET DE COQUINS
Il n'y aura pas de développement.
Actuellement c'est la phase AU THÉÂTRE CE SOIR.
PAUVTE PAYS
Masara
il y a 3 semaines (11:23 AM)Les exportations de produits miniers de tout le Mali risques de passer par Abidjan ,et tout dernièrement les d'importants transferts d'équipements militaires pour le Mali sont passés par Conakry donc attention la concurrence est rude donc focus sur l'essentiel
Ce sont des sénégalais ayant perdu leur boulot combien de contractuels possèdent les entreprises
Vous nous emmerdez vous les politiciens avec vos discours haineux
Vous allez détruire ce pays mais que le Bon Dieu nous garde
ils adorent la graisse de boa !!
Maman
il y a 3 semaines (14:22 PM)DIOMAYE mo ko tai yéé
Juin juubeul jubanti
goré gorr gorlou
" Tous les peuls out!
Il ne reste plus que des Coly ,Sane, Mane , Badji Bodian, Sagna, Diouf Sarr et Faye, Ndour.
C'est ay notre tour de profiter .
La roue tourne .
C'est notre tour
SÉNÉGAL REKK!"
C'est ce à quoi on assiste dans les sociétés parapubliques.
Ce qu'il préconise,c'est que les DG sont en train d'appliquer à la lettre
oh gourou toi ya fort comme amateur d'anus !!
@mamadou.mouton.pastouffe
Pas étonnant que pour sécuriser ce pouvoir qui semble leur assurer une exclusivité sur certains emplois, les parents et émules de Boy Sud s'érigent en défenseurs acharnés du NOUVEAU SYSTÈME allant jusqu'à créer des milices ethniques pour assurer la police de la pensée.
Pour ces fanatiques, critiquer SONKO est un sacrilège.
De vrais malades mentaux qui parlent et agissent sans réfléchir
Boy Sud n' affirme-t-il pas dans son post que LA ROUE TOURNE?
Et oui, ELLE TOURNE et apparemment,il n'en tire pas les bons enseignements.
Mais peut-être oublie- t-il ou ignore- t-il cette expression qui nous vient de la Grèce antique : " IL N'Y A PAS LOIN DU CAPITOLE À LA ROCHE TARPEENNE "
De la la gloire à la d'échéance !
A bon entendeur !
Pas étonnant que pour sécuriser ce pouvoir qui semble leur assurer une exclusivité sur certains emplois, les parents et émules de Boy Sud s'érigent en défenseurs acharnés du NOUVEAU SYSTÈME allant jusqu'à créer des milices ethniques pour assurer la police de la pensée.
Pour ces fanatiques, critiquer SONKO est un sacrilège.
De vrais malades mentaux qui parlent et agissent sans réfléchir
Boy Sud n' affirme-t-il pas dans son post que LA ROUE TOURNE?
Et oui, ELLE TOURNE et apparemment,il n'en tire pas les bons enseignements.
Mais peut-être oublie- t-il ou ignore- t-il cette expression qui nous vient de la Grèce antique : " IL N'Y A PAS LOIN DU CAPITOLE À LA ROCHE TARPEENNE "
De la la gloire à la d'échéance !
A bon entendeur !
Nianthio
il y a 3 semaines (15:37 PM)Lisez la page 26cet 27 de ce faux rapport. Le crimes n'est jamais parfait. En moins de 6 mois ils ont fait disparaître 104milliards, ces tocards
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il y a 3 semaines (18:14 PM)Xeme
il y a 3 semaines (18:04 PM)Et Rappelez-vous que pour recruter la première vague, Cheikh Kanté avait licencié ceux qu'il avait trouvé. Et les syndicalistes l'avaient dénoncé lors d'une conférence de presse. Cheikh Kanté avait nié et promis de porter plainte. Cela fait 13 ans que j'attends cette plainte. Les archives le prouvant sont disponibles sur le net.
L’indifférence devenue notre quotidien (Texte collectif)
12/02/2025 23:38
C’est avec une profonde préoccupation que nous nous permettons de rappeler l’indifférence grandissante et la violence immatérielle qui affectent notre société sénégalaise connue et reconnue pour ses valeurs de solidarité et de "teranga".
Nous faisons face à une société en crise caractérisée par le développement d’un individu mû par ses intérêts égoïstes. Nous assistons, dans notre pays, à prééminence de l’avoir et de l’argent sur l’être (Clément M., 2018 : 47). Nous assistons à la fragilisation des valeurs de partage, de solidarité, d’empathie, marquée par une montée du “bop sa bop”, de la réussite au singulier, somme toute de l’exacerbation de l’individualisme. Notre silence, notre indifférence et notre mépris face aux souffrances de nos concitoyens, notre insensibilité aux malheurs et aux douleurs de nos frères et sœurs, attestent que notre société n’est que l’ombre d’elle-même.
Les causes de « cette souffrance ne résident pas toutes dans le “système”, elles tiennent aussi aux autres qui harcèlent, qui méprisent, qui ignorent. Si la souffrance sociale pose la question de la justice des institutions, elle pose aussi le mal en soi. » (Clément M., 2018 : 11).
Que sont devenus nos principes de solidarité, nos traditions d’assistance aux nécessiteux et notre devoir d’humanité envers nos concitoyens ?
Nous interpellons la conscience collective et appelons chacun à un réveil social
La violence immatérielle, bien que moins visible que la violence physique, est tout aussi destructrice. Elle se manifeste dans nos interactions quotidiennes, dans le mépris de l’autre, dans le manque de considération de la détresse des jeunes et des démunis. Elle s’exprime dans l’injustice sociale, l’exclusion économique et le silence complice face aux abus et aux inégalités. L’indifférence est devenue un mur infranchissable qui nous empêche de voir et de ressentir la souffrance de l’autre. Les valeurs de bienveillance et d’entraide semblent céder la place à une logique de mépris et d’insensibilité.
Il est impératif que nous luttions contre cette violence invisible qui brise des vies et renforce les inégalités. Nous devons reconstruire une société plus juste, où l’humain reprend sa place au cœur de nos préoccupations. Nous assistons à une déconstruction des valeurs fondamentales qui faisaient la force de notre nation. La montée de l’individualisme, la soif de matérialisme et l’érosion des principes moraux ont laissé place à une société où l’intérêt personnel prime sur le bien commun. L’éducation, autrefois pilier de la transmission des repères sociaux et culturels, semble ne plus jouer pleinement son rôle face aux influences négatives qui envahissent nos espaces sociaux et numériques.
Cette perte de repères entraîne une rupture sociale profonde, exacerbant les inégalités et creusant un fossé grandissant entre les différentes couches de la population. La jeunesse, en manque de perspectives et de modèles inspirants, se retrouve souvent livrée à elle-même, exposée à la délinquance, aux dérives extrémistes et à la tentation de l’émigration irrégulière. Le mépris de l’autre devient une norme insidieuse qui gangrène nos relations humaines. L’indifférence face à la souffrance d’autrui, la stigmatisation des plus démunis et l’arrogance de certaines élites participent à l’effritement du tissu social. Loin des principes de "teranga" qui faisaient notre fierté, nous voyons émerger une société où l’empathie et le respect de l’autre deviennent rares.
Il est urgent d’engager une réflexion collective sur ces maux qui menacent notre cohésion nationale. Il est du devoir des autorités, des leaders d’opinion, des éducateurs et de chaque citoyen de restaurer les valeurs qui ont toujours été le socle de notre identité. Sans un sursaut social et moral, nous risquons de voir se généraliser un modèle de société où règnent l’égoïsme, l’injustice et la fracture sociale. Face aux pressions multiformes et aux nouvelles dynamiques sociales, la société sénégalaise s’expose à une panne sociale où ni l’ancien modèle, fondé sur l’entraide et les valeurs communautaires, ni le nouveau modèle, basé sur l’autonomie individuelle, ne fonctionnent pleinement. Nous interpellons la conscience collective et appelons chacun à un réveil social. Nous semblons nous diriger vers un effondrement sociétal.
Il devient urgent de repenser la famille en tenant compte des réalités locales, en renforçant les mécanismes de solidarité et en adaptant les transformations sociales aux ressources réelles du pays. Une société qui cherche à évoluer sans un socle solide risque de se perdre dans une crise identitaire et sociale difficile à surmonter.
Keurbass
il y a 3 semaines (21:52 PM)Astou
il y a 3 semaines (22:03 PM)Danguine bou ame avc
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il y a 3 semaines (22:30 PM)Tabouré
il y a 3 semaines (22:29 PM)Tabouré
il y a 3 semaines (22:29 PM)Anonyme
il y a 3 semaines (23:20 PM)Nous sommes dans des économies extraverties : exportations de matières brutes et importations de produits finis.
Les économistes ont bien dit que 90% de la chaîne de valeur se trouvent dans la transformation et la distribution.
On ne peut pas se contenter de 10% de la chaîne et supporter 90% de l’investissement.
Si les américains acceptent de financer les projets de Lobito et Benguela (port et chemin de fer) c’est pour leur propre intérêt . Il se feront bien payer par les matières premières et laisseront des dettes dans ces pays en termes de garanties souveraines et autres. est-ce que ça va réduire la pauvreté en RDC? Depuis quand ce pays exporte des minerais ? En plus de la pauvreté, ils sont dans des guerres interminables.
Les vrais ports (Amsterdam, Guangzhou) font exactement le contraire en important des matières brutes et et en exportant des produits finis.
Les chiffres du port de Dakar ne reflètent pas grand chose alors.
Par contre si on avait un bon réseau routier et ferroviaire avec nos voisins et une économie diversifiée, le commerce avec ces pays serait plus profitable pour nos économies respectives.
Bien ce n’est pas un texte d’économiste ou de journaliste mais je veux juste susciter un débat auprès de ces derniers.
Al Mahdi
il y a 3 semaines (19:50 PM)Participer à la Discussion