
Les conséquences désastreuses de l’excision sur la vie des filles et des femmes, soutenues par une forte propension du fléau, ces derniers temps, préoccupent les "Bajaanu Gox", ces relais communautaires, et les prestataires de la commune de Ngaye-Mékhé, qui alertent sur les dangers et les complications liées aux mutilations génitales.
Elles ont mis à profit la cérémonie de lancement officiel de la Semaine de la santé de la mère et de l'enfant, pour interpeller le chef de l'État, le Premier ministre et le ministre de la Santé sur la recrudescence de cette pratique ancrée dans les traditions qui entraine des conséquences désastreuses pour la société.
Ces mutilations sexuelles féminines constituent une violation brutale des droits humains et de l’intégrité physique et morale des filles et des femmes et entrainent des conséquences directes et violentes sur la vie des personnes qui en sont victimes, au point de provoquer des séquelles à long terme. Elles comptent mener un plaidoyer auprès des autorités contre cette pratique traditionnelle néfaste à la santé des filles.
La cérémonie de lancement de la Semaine de la santé de la mère et de l'enfant, organisée par le district sanitaire de Mékhé, sous la direction de son médecin-chef, a été une occasion pour Dr Aïda Diop, adjointe au directeur régional de la Santé de Thiès, de revenir sur le thème «Le rôle de la communauté dans l'amélioration des performances de la santé de la reproduction», en vue de sensibiliser les populations par rapport à la prise en charge précoce de tout ce qui est santé de la reproduction.
9 Commentaires
Hé!
En Février, 2025 (20:36 PM)Lebaolbaol Tigui
En Février, 2025 (20:56 PM)Reply_author
En Février, 2025 (22:03 PM)Ba
En Février, 2025 (09:12 AM)on ne donne pas de nom à ce que l'on ne connait pas
demandez à vos mamans elles vous le confirmeront bande de couyons
Lebaolbaol Tigui
En Février, 2025 (22:11 PM)Etant déja marié à des femmes exisés j'avoue que ce n'est pas facile pour elles osuvent.
il faut que les religieux l'étudient avec accuité.
Mariez tot les filles
Ewortpmgfrnddrydeuuppp
En Février, 2025 (23:56 PM)en Afrique, il semble que ca existait dejà du temps de la Nubie
Suivant le lieu geographie, on lui a donné diverses raisons.
Il sera trés, tres difficile d'effacer une pratique necessaire
à une reconnaissance sociale pour certains (sous peine d'etre taxée d'abandonner une tradition)
Faudrait-il le faire à l'hopital plutot qu'en cachette ?
Faut-il le combattre ?
Le chemin sera long, tres long...
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