
Après un édito commun « Médias, la mort programmée », suivi d’une journée sans presse, des médias privés ne comptent pas lâcher du lest. Bès Bi rapporte que dans leur plan d’action, il est prévu de « boycotter les activités gouvernementales mercredi et jeudi ».
Une rencontre est même prévue avec la société civile avant l’évaluation qui sera faite vendredi. Selon le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l’information et de la communication (SYNPICS), Bamba Kassé, la rencontre était prévue mardi. « Malheureusement, elle a été reportée à jeudi à cause du décès de la mère du président du Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal, Mamadou Ibra Kane », regrette le journaliste, repris par le journal du Groupe Emedia.
Des voix de la société civile s’élèvent déjà pour que le gouvernement et les acteurs de la presse se retrouvent autour d’une même table.
Une rencontre est même prévue avec la société civile avant l’évaluation qui sera faite vendredi. Selon le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l’information et de la communication (SYNPICS), Bamba Kassé, la rencontre était prévue mardi. « Malheureusement, elle a été reportée à jeudi à cause du décès de la mère du président du Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal, Mamadou Ibra Kane », regrette le journaliste, repris par le journal du Groupe Emedia.
Des voix de la société civile s’élèvent déjà pour que le gouvernement et les acteurs de la presse se retrouvent autour d’une même table.
12 Commentaires
Ndiakhoum
En Août, 2024 (10:23 AM)Cotise pas djath pas.
Combat Perdu D Avance
En Août, 2024 (10:30 AM)Senegalais
En Août, 2024 (11:05 AM)Vive Sans Limites un organe que j'ai au cœur
mais ce qui est constant c'est la non viabilité du systéme actuel parce que cette presse était dans un cadre de clientélisme et de corruption déguisé avec des unes achetées au plus offrants.
maintenant batir un sénégal de droit induit le respect intégral de la loi dans son étendu et ce secteur de la vie sénégalaise ne peut faire exception a cela.
pourquoi, nos mamans vendant des cacahuétes paient une taxe et les patrons de presse ne le font pas. Encore que les impôts dont il s'agit ici sont généralement des retenues sur les salaires de leurs employés, donc pas à leur charge. Maintenant qd des personnes sont recrutés et payées à des montants exhorbitants sans lien avec une gestion rigoureuse, ca méne à cette situation. Dites moi ou est la responsabilité de l'etat?
Jeunesse
En Août, 2024 (11:31 AM)La Presse traditionnelle est mourante.
Les média en ligne vont de plus en plus les remplacer..
Si l’Etat doit se mettre à table avec les maisons de Presse, il devrait faire la même chose avec tous les citoyens imposables
Segalensis
En Août, 2024 (11:35 AM)les acteurs politiques, qui entretiennent ces derniers. Les politiciens vous ont habitués à une pratique malsaine, faire la promotion des uns et diaboliser les autres en contre partie des billets de banque, des bons de carburant, des bons de séjour, j'en passe. Il faut que s'arrête, soyez en règle comme tout le monde , si vous en êtes incapables alors fermez vos portes.
Mor
En Août, 2024 (11:58 AM)Ketiel
En Août, 2024 (13:09 PM)Comment peut on prélever des sommes importantes (des milliards) sur les salaires de ses employés ,les détourner en refusant de les reverser soit au trésor public soit à l'IPres ou la caisse de sécurité sociale,et organiser des grèves parce que l'état réclame ses sous
Sincèrement c'est manquer de respect aux sénégalais. Les entreprises de presse sont avant tout des entreprises et à ce titre elles ont les mêmes obligations que les autres entreprises. Que l'État reste ferme ar c'est une question de justice et d'équité
Toutes les entreprises doivent être traitées de la même manière.
Ha Ha Haaaa ! De
En Août, 2024 (18:18 PM)Ha Ha Haaaa ! De
En Août, 2024 (18:18 PM)Participer à la Discussion