
Menée par le commissariat de Yeumbeul Nord, l’enquête sur la mort de Pape Coulibaly suit son cours. Ce dernier aurait été enlevé, violeté et jeté dans la rue. Il succombera à ses blessures quelques instants plus tard. Ses bourreaux seraient un certain Kalz, un indic de la police, et un élément du GMI nommé Landing G. Le premier a fondu dans la nature peu après le drame; il aurait été localisé à Rosso. Le second a répondu à la convocation des enquêteurs.
Si l’on en croit Les Échos, l’agent du GMI a certes reconnu qu’il était au volant de la voiture à bord de laquelle Pape Coulibaly a été embarqué alors qu’il se promenait dans la rue avec sa petite-amie. Mais, poursuit le journal, il a nié avoir pris part à la bastonnade qui aurait conduit au décès de la victime, revendiquant une «présence passive».
Manifestement peu convaincue par cette ligne de défense, une source de L’AS interroge : «Pourquoi n’est-il pas intervenu, en tant qu’agent de police, pour empêcher Kalz de commettre son forfait [présumé] ?»
Si l’on en croit Les Échos, l’agent du GMI a certes reconnu qu’il était au volant de la voiture à bord de laquelle Pape Coulibaly a été embarqué alors qu’il se promenait dans la rue avec sa petite-amie. Mais, poursuit le journal, il a nié avoir pris part à la bastonnade qui aurait conduit au décès de la victime, revendiquant une «présence passive».
Manifestement peu convaincue par cette ligne de défense, une source de L’AS interroge : «Pourquoi n’est-il pas intervenu, en tant qu’agent de police, pour empêcher Kalz de commettre son forfait [présumé] ?»
3 Commentaires
Bien Sûr !
En Février, 2025 (12:25 PM)Participer à la Discussion