
La création d’une Agence nationale de gestion des daaras et l’ouverture d’un Musée national pour les écoles coraniques.
C’est la principale revendication des Serigne daaras, lors de la Journée dédiée aux écoles coraniques, célébrée, samedi dernier, au village Diémoul Peul, à Kaolack.
Lors de ce rendez-vous, rapporte Le Quotidien, les maîtres coraniques ont fait un diagnostic sans complaisance du secteur.
«Il est temps que nous qui sommes dans le secteur, nous nous organisions davantage pour faire face aux nombreux défis auxquels nous sommes confrontés… Nous souhaitons la mise en place d’une Agence nationale de gestion des daaras, un appui financier aux écoles coraniques sans conditions contraignantes", martèle le porte-parole du jour des Serigne daaras.
Et d'enchaîner : "Nous réclamons aussi la création de diplômes d’Éttat pour les écoles coraniques, de la mémorisation jusqu’aux étapes supérieures, la construction d’un Musée national des écoles coraniques et de faire du Coran et de l’enseignement religieux, les deux socles de l’éducation préscolaire au Sénégal».
En somme, les maîtres coraniques demandent également plus de considération de la part de l’État et la prise en compte de leurs doléances, rajoutant que la carte éducative du Sénégal est marquée par la présence de deux offres différentes qui devraient être harmonisées.
Car, disent-ils, «aucune éducation ne serait pertinente, si elle ne prend pas en compte les croyances des cibles».
C’est la principale revendication des Serigne daaras, lors de la Journée dédiée aux écoles coraniques, célébrée, samedi dernier, au village Diémoul Peul, à Kaolack.
Lors de ce rendez-vous, rapporte Le Quotidien, les maîtres coraniques ont fait un diagnostic sans complaisance du secteur.
«Il est temps que nous qui sommes dans le secteur, nous nous organisions davantage pour faire face aux nombreux défis auxquels nous sommes confrontés… Nous souhaitons la mise en place d’une Agence nationale de gestion des daaras, un appui financier aux écoles coraniques sans conditions contraignantes", martèle le porte-parole du jour des Serigne daaras.
Et d'enchaîner : "Nous réclamons aussi la création de diplômes d’Éttat pour les écoles coraniques, de la mémorisation jusqu’aux étapes supérieures, la construction d’un Musée national des écoles coraniques et de faire du Coran et de l’enseignement religieux, les deux socles de l’éducation préscolaire au Sénégal».
En somme, les maîtres coraniques demandent également plus de considération de la part de l’État et la prise en compte de leurs doléances, rajoutant que la carte éducative du Sénégal est marquée par la présence de deux offres différentes qui devraient être harmonisées.
Car, disent-ils, «aucune éducation ne serait pertinente, si elle ne prend pas en compte les croyances des cibles».
12 Commentaires
Compte tenu de ce qu'on lit dans les faits divers, l'internat doit être exclu.
Les enfants doivent venir et rentrer chez eux le soir. Ils ont des parents.
C'est cela qui va faire comprendre à chaque parent qu'il a des devoirs envers son enfant.
Jaimepas
En Décembre, 2021 (07:21 AM)Abdallhah
En Décembre, 2021 (08:18 AM)Bref on voit aujourd’hui des attaques orchestrées par les ennemis de l’islam (les francs-maçons et les anti confréristes) se cacher derrière ce voile politique pour s’attaquer aux confréries; le vieux Drame et autres collabos connus. Nous n’avons jamais prôné une défense absolue comme si tous les marabouts sont sans reproche mais il ne faut surtout pas se tromper d’objectif ; d’autan plus que les confréries sont indéboulonnables. Ceux qui s’y adonnent sont vouées à leur perte (c’est sûr ) ; le plus gros risque qu’ils courent est l’ébranlement de leur mission et la non satisfaction a jamais de leurs objectifs. Comment un peuple averti pourra-t-il substituer sa vérité à la promesse d’incultes dont l’objectif n’est que assurer la tâche pour des francs-maçons, arrhes et anti confréristes.
En résumé la « confrérie surtout Tijani » celui qui s’y frotte s’y pique demandez à d’aucuns Houlemas de l’histoire ils ont très mal finis .
Aussi la grande famille des musulmans Tijani (600 millions dans ce monde) de Fez , Dakar a Djakarta en Indonésie ne pourrait être ébranlés par ces jeunes activistes athés et tricheurs dans leur foi . Dans le pire des cas leur objectif politique ne sera jamais atteint; car souillé et bani au départ . « Risque de voir leur projet tomber à l’eau ; à l’échec par déchéance .
Reply_author
En Décembre, 2021 (09:34 AM)Moussa
En Décembre, 2021 (09:42 AM)Lebaolbaol Tigui
En Décembre, 2021 (08:26 AM)Lebaolbaol Tigui
En Décembre, 2021 (08:30 AM)Lebaolbaol Tigui
En Décembre, 2021 (11:00 AM)Défenseur
En Décembre, 2021 (12:56 PM)Oui a l'éducation religieuse et non à la façon dont elle est pratiquée actuellement.
Si les dirigeants politiques était courageux cela devait être du ressort de l'état avec des professeurs assermentés et convenablement formés eux-mêmes, dans des structures publiques comme l'école française. Mais les lobies maraboutiques s'y opposeront avec violence et le petit politicien véreux, poltron fermera le couvercle.
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