
Exit Lisnave. L'État du Sénégal cherche un nouveau repreneur. «Un avis d'appel public à candidature international [a été publié dans Le Soleil de ce lundi] pour un contrat de partenariat public privé de 20 ans concernant la reprise, la réhabilitation, le financement, l'exploitation, la maintenance des chantiers navals de Dakar», renseigne Libération.
«Ce processus déclenché à travers la Société des infrastructures de réparation navale [Sirn] vient à son heure [pour] mettre fin à la bamboula de Lisnave», espère le journal. Celui-ci avance que «la société portugaise, [en poste] depuis 1999 à travers Dakarnave, bénéficiait depuis l'ère des socialistes d'un contrat léonin dénoncé par tous les corps de contrôle».
La preuve, glisse la même source, «l'État du Sénégal n'a reçu que 1% du chiffre d'affaires de 20 milliards de francs Cfa [réalisé] pour la gestion 2024, [soit] 200 millions. «Tout pour Lisnave, rien pour l'État», ironise Libération.
«Ce processus déclenché à travers la Société des infrastructures de réparation navale [Sirn] vient à son heure [pour] mettre fin à la bamboula de Lisnave», espère le journal. Celui-ci avance que «la société portugaise, [en poste] depuis 1999 à travers Dakarnave, bénéficiait depuis l'ère des socialistes d'un contrat léonin dénoncé par tous les corps de contrôle».
La preuve, glisse la même source, «l'État du Sénégal n'a reçu que 1% du chiffre d'affaires de 20 milliards de francs Cfa [réalisé] pour la gestion 2024, [soit] 200 millions. «Tout pour Lisnave, rien pour l'État», ironise Libération.
5 Commentaires
Sow
En Février, 2025 (10:59 AM)Paco
En Février, 2025 (12:11 PM)Et n'oublions pas aussi les noirs portugais qui ne savent pas conjuguer un verbe régulier de 1er groupe au présent de l'indicatif et qui occupent des postes de responsabilité.
Il faut revoir les CV pour la bonne marche de la reprise.
Quant aux sous-traitants de 65 à 90 qui viennent uniquement à la fin du mois pour récupérer les chèques ou argent en liquide comme des dealers de drogue dans une mafia, ma part ou bien ça s'éclate.
Vive la mafia gaise au coeur du port de Dakr. Ils occupent 12 Ha ces aventuriers portugais. Aucun pays normal ne saurait l'accepter mais thieuy sounou politiciens yi .
Et n'oublions pas aussi les noirs portugais qui ne savent pas conjuguer un verbe régulier de 1er groupe au présent de l'indicatif et qui occupent des postes de responsabilité.
Il faut revoir les CV pour la bonne marche de la reprise.
Quant aux sous-traitants de 65 à 90 qui viennent uniquement à la fin du mois pour récupérer les chèques ou argent en liquide comme des dealers de drogue dans une mafia, ma part ou bien ça s'éclate.
Vive la mafia gaise au coeur du port de Dakr. Ils occupent 12 Ha ces aventuriers portugais. Aucun pays normal ne saurait l'accepter mais thieuy sounou politiciens yi .
Avec plusieurs ports de la sous-région qui ont ouvert leurs chantiers navaux, Dakar-Marine puis Smirn ont vu leur part de marché se retrécir.
King
En Février, 2025 (22:01 PM)La question que je vais vous poser est celle là:
Si Dakar marine marchait bien et était prospère alors pourquoi il on fait faillite et cherchait désespérément un repreneur ???!!!!!
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