Un jeune Sénégalais a tué sa mère dans des circonstances insoutenables, la tête de sa mère entre les mains

L’individu qui défraie la chronique en France après avoir été arrêté, la tête de sa maman entre les mains, est un jeune Sénégalais de 25 ans. Atteint de démence, il a décapité et éviscéré sa mère âgée de 54 ans avec qui ils vivaient dans un appartement de la Rue Charras, à Courbevoie.

L’ensemble des médias français a rapporté l’information hier : dans la soirée du lundi, un individu a été interpellé à Coubevoie, la tête de sa maman entre les mains. Hélas, cette tragédie qui secoue les Hauts-de-Seine est un drame bien sénégalais.
Selon les informations recueillis par Libération auprès de sources autorisées, le meurtrier présumé en question est un ressortissant sénégalais tout comme sa maman, âgée de 54 ans. Tous les deux vivaient au huitième étage d’un immeuble à la Rue Charras. Les mêmes interlocuteurs renseignent que le fils meurtrier, âgé de 25 ans, était atteint de démence et ce n’est pas la première fois qu’il a eu maille avec la Justice.
En 2011 déjà, il avait été interpellé et interrogé sous le régime de la garde à vue pour violence.
voici l’horreur tel que rapporté par Lci : «Lundi soir dans les Hauts-de-Seine, un jeune homme de 25 ans en crise de démence aurait décapité sa mère de 54 ans. L’individu, connu des services de police, a été maîtrisé au Taser puis admis à l’hôpital. Les faits se sont produits lundi soir dans un immeuble du centre-ville de Courbevoie (Hauts-de-Seine). Il est aux environs de 22h00 lorsqu’un jeune homme âgé de 25 ans aurait décapité sa mère de 54 ans. La police aura été alertée dans le courant de la demi-heure précédente par des voisins du bâtiment.
Nos confrères du Point, qui rapportent l’information confirmée par le parquet de Nanterre, poursuivent en indiquant que la DSPAP (Direction de la sécurité publique de la région parisienne), a alors été appelée à intervenir sur les lieux. Sur place, les autorités découvriront le meurtrier présumé tenant la tête de sa mère dans ses mains. Les premiers éléments communiqués de l’enquête semblent attester d’une mort provoquée par décapitation et éviscération, ce dernier acte ayant été commis à l’aide d’un couteau en céramique. Les forces de l’ordre sont parvenues à maîtriser le suspect au terme de quatre coups de Taser (pistolet à impulsion électrique).
Son état de ‘’démence avérée’’ l’a soustrait à une audition, une source proche du dossier précisant à ce sujet que ‘’ses propos étaient incohérents même s’il a invoqué Dieu – mais pas Allah – à un moment. C’est un triste fait divers’’. Le casier judiciaire du suspect n’était pas vierge avant ce drame puisque les autorités lui prêtent en effet des faits de violence datés de 2011.
Aux dernières nouvelles, il a été admis à l’hôpital. Pour un officier de la police judiciaire (PJ), il s’agit de la première fois que de tels actes concernent la famille du jeune homme, d’origine sénégalaise : ‘’La police n’avait jamais eu à intervenir dans cet immeuble auparavant. Il n’y a aucune trace de main courante concernant cette famille au commissariat’’. L’enquête a été confiée au SDPJ 92, soit le service départemental de police judiciaire des Hauts-de-Seine».