
« S’agissant de mon intention antérieurement exprimée de ne plus accepter une nomination par décret, j’ai appris d’un Grand Soufi que «la nécessité crée l’exception, même en religion ». L’homme peut se prétendre maître de ses intentions et de ses actes, mais son destin relève de ce que les croyants appellent Volonté divine et que les non-croyants pourraient nommer contexte, circonstance ou situation », tente-t-il de justifier devant l’auditoire.
« Aujourd’hui comme hier, ma réflexion et mon action portent plus sur les solutions à apporter aux difficultés des citoyens que sur la polémique », rembobine le nouveau président du Cese selon qui, « Il faut AGIR, au bénéfice exclusif des populations. Peu importe le coût pour sa propre image ou même sa vie qui, « au regard du destin d’une Nation, demeure une insignifiance».
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