
Très tôt le matin, vers 6 heures du matin, il a été extrait de sa cellule du Cap Manuel et conduit au tribunal par les éléments pénitentiaires d'intervention (Epi), sur instruction du Procureur général près les chambres africaines, Mbacké Fall.
Surveillé comme du lait sur le feu par des éléments armés jusqu’aux dents, il est installé sur une chaise. Tout de blanc vêtu, il à été introduit dans la salle 4, où va se passer le procès, par une porte dérobée, à l’insu du public. Enturbanné, couvert et ne laissant qu’une infirme partie de son visage visible, il affiche la sérénité. Une montre dorée à la main gauche, il attend l’ouverture de son procès.
Des victimes et quelques-uns de leurs avocats sont aussi venus nombreux. Ils ont pris place, à plus d’une dizaine de mètres de l’ancien président Tchadien.
Pour la sécurité des membres de la chambre et des témoins, un détachement d'éléments de la Brigade d'intervention polyvalente (Bip) est mobilisé, le temps du procès.
Des victimes et quelques-uns de leurs avocats sont aussi venus nombreux. Ils ont pris place, à plus d’une dizaine de mètres de l’ancien président Tchadien.
Pour la sécurité des membres de la chambre et des témoins, un détachement d'éléments de la Brigade d'intervention polyvalente (Bip) est mobilisé, le temps du procès.
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