
Ses avocats dénoncent des règlements de comptes politiques après la liberté provisoire accordée à leur client, Mbaye Dionne, proche de Malick Gakou, le leader du Grand parti venu le soutenir hier à Thiès.
«C’est une procédure d’instruction. Il faudrait le constater et le regretter. Il s’agit d’un dossier politique qui a été monté par des adversaires politiques contre un maire qui a travaillé pour sa commune et qui a fini de montrer ses preuves dans le cadre de son service. Le juge a compris la donne et il a effectivement su que c’est un dossier purement politique raison pour laquelle Mbaye Dione et ses collaborateurs ont été mis en liberté provisoire», a déclaré le président du pool d’avocats de Mbaye dionne, Me Bamba Cissé dans les colonnes du Quotidien.
«C’est une procédure d’instruction. Il faudrait le constater et le regretter. Il s’agit d’un dossier politique qui a été monté par des adversaires politiques contre un maire qui a travaillé pour sa commune et qui a fini de montrer ses preuves dans le cadre de son service. Le juge a compris la donne et il a effectivement su que c’est un dossier purement politique raison pour laquelle Mbaye Dione et ses collaborateurs ont été mis en liberté provisoire», a déclaré le président du pool d’avocats de Mbaye dionne, Me Bamba Cissé dans les colonnes du Quotidien.
Maintenant, ajoute l’avocat, «le juge fera son travail pour voir s’il y a des liens de connexité mais au fond il reste que la philosophie du dossier, la trame, la logique, la vérité c’est qu’il y a des relents de règlement de comptes politiques initiés par les adversaires de Mbaye Dione pour le liquider mais il ne se laissera pas faire».
Le face à face de Mbaye Dionne avec le juge fait suite à l’inculpation de 4 de ses proches pour des délits présumés d’association de malfaiteurs, détournement de deniers publics d’un montant de 204 millions de F Cfa, de faux et usage de faux dans un document administratif.
Le face à face de Mbaye Dionne avec le juge fait suite à l’inculpation de 4 de ses proches pour des délits présumés d’association de malfaiteurs, détournement de deniers publics d’un montant de 204 millions de F Cfa, de faux et usage de faux dans un document administratif.
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