
L. Dasilva, Sénégalais établi en Italie, a été arrêté pour le meurtre de sa voisine Pierina Paganelli, 78 ans. Cette dernière a été tuée de 29 coups de couteau la nuit du 3 octobre. L'affaire prend une nouvelle tournure, rapporte Les Échos, dans sa livraison de ce mardi, 7 janvier.
«La récente analyse génétique [demandée par le juge d'instruction] a révélé que l'Adn [de l'accusé], actuellement en prison, n'est présent ni sur le corps de la victime, ni sur les lieux du crime», révèle le journal. Qui ne doute pas que «cet aspect pourrait avoir un impact significatif sur les enquêtes en cours et sur l'avenir judiciaire du Sénégalais de 35 ans».
La preuve, jubile l'avocat de la défense, Me Riario Fabbri, repris par la même source, ces nouveaux éléments, que la robe noire qualifie de «cruciaux», excluent son client, L. Dasilva, de la scène de crime.
Les Échos souffle toutefois que «les résultats concernant la vidéo de la caméra de surveillance de la pharmacie de Via del Ciclamino, qui a capturé un homme identifié comme étant Dasilva, [seront déterminants]». Pourquoi ? «Si la vidéo confirme la ligne de défense proposé par les avocats du [compatriote], une demande de [mise en] liberté sera présentée. Cette étape pourrait marquer un tournant décisif dans la procédure judiciaire, conduisant à un potentiel renversement des rôles dans l'affaire et transformant L. Dasilva du statut de suspect à celui d'éventuelle victime d'une erreur judiciaire», croit savoir Les Échos.
D'après les premiers éléments de l’enquête, le mis en cause entretenait une relation amoureuse avec la belle-fille de la défunte, Manuela Bianchi. Dasilva, qui a servi dans l’Armée sénégalaise avant de se rendre en Italie, vivait avec son épouse, Valeria Bartolucci, au troisième étage d’un immeuble de Via del Ciclamino, en Toscane. Pierina Paganelli, son fils Giuliano Saponi et l’épouse de ce dernier, Manuela Bianchi, étaient les voisins de palier du couple sénégalo-italien.
«La récente analyse génétique [demandée par le juge d'instruction] a révélé que l'Adn [de l'accusé], actuellement en prison, n'est présent ni sur le corps de la victime, ni sur les lieux du crime», révèle le journal. Qui ne doute pas que «cet aspect pourrait avoir un impact significatif sur les enquêtes en cours et sur l'avenir judiciaire du Sénégalais de 35 ans».
La preuve, jubile l'avocat de la défense, Me Riario Fabbri, repris par la même source, ces nouveaux éléments, que la robe noire qualifie de «cruciaux», excluent son client, L. Dasilva, de la scène de crime.
Les Échos souffle toutefois que «les résultats concernant la vidéo de la caméra de surveillance de la pharmacie de Via del Ciclamino, qui a capturé un homme identifié comme étant Dasilva, [seront déterminants]». Pourquoi ? «Si la vidéo confirme la ligne de défense proposé par les avocats du [compatriote], une demande de [mise en] liberté sera présentée. Cette étape pourrait marquer un tournant décisif dans la procédure judiciaire, conduisant à un potentiel renversement des rôles dans l'affaire et transformant L. Dasilva du statut de suspect à celui d'éventuelle victime d'une erreur judiciaire», croit savoir Les Échos.
D'après les premiers éléments de l’enquête, le mis en cause entretenait une relation amoureuse avec la belle-fille de la défunte, Manuela Bianchi. Dasilva, qui a servi dans l’Armée sénégalaise avant de se rendre en Italie, vivait avec son épouse, Valeria Bartolucci, au troisième étage d’un immeuble de Via del Ciclamino, en Toscane. Pierina Paganelli, son fils Giuliano Saponi et l’épouse de ce dernier, Manuela Bianchi, étaient les voisins de palier du couple sénégalo-italien.
4 Commentaires
Aka Boone ! Aka Yéss !
En Janvier, 2025 (13:27 PM)Le mec n’a même pas honte de toucher à la femme de son voisin DE MÊME PALIER ! C’est écœurant !
Faudrait pas venir m’expliquer que c’est la toubab qui l’aurait séduit, je m’en fous, ce n’est pas une excuse, tu n’as pas à déshonorer un voisin que tu côtoies tous les jours hypocritement ! C’est atroce !
Reply_author
En Janvier, 2025 (14:30 PM)Défenseur
En Janvier, 2025 (13:45 PM)Participer à la Discussion