Concernant la volonté des autorités sénégalaises de détruire l’autoroute à péage, assimilée par certaines à une bombe qui risque de soulever des vagues, il faut relever, qu’à l’heure actuelle, les groupes de pression et autres lobbys français dont les grands intérêts dans ce juteux business seraient automatiquement menacés, ne dorment plus que d’un œil. Surtout avec les révélations faites par le député Moustapha Diakhaté qui précise que des travaux de reconstruction de l’autoroute à péage seront effectués après l’installation de ladite centrale électrique. Grand’Place qui a donné l’information prédit une farouche résistance de la part de ceux qui exploitent l’infrastructure.
Avec cette info qui émane d’une grosse ponte de la République, par conséquent fiable, pensent nos confrères du quotidien de Sandaga, c’est le boss du Groupe Eiffage, Gérard Sénac qui risque d’avoir des tournis. Lui qui n’a pas voulu entendre le président de la République, Macky Sall parler de possible baisse des tarifs sur l’autoroute à péage.
Le journal qui voit à travers ce projet une manière de déshabiller Jean pour habiller Paul, prédit aussi une probable fin des délestages et autres coupures de courant devenus récurrents, mais aussi le retour des bouchons avec l’enfer des embouteillages à Dakar pendant la durée des travaux. Ce qui passe pour un schéma bizarre que les usagers de cette merveille de Wade, auront du mal à comprendre, indique la source.
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