
A Saly, site touristique situé à Mbour, l’avancé de la mer n’est plus qu’une réalité, depuis plusieurs années. Le Groupe de la Banque mondiale avait alors initié des études pour se faire une idée de l’impact réel de l’érosion côtière qui a fait plusieurs dégâts aussi bien dans la zone que dans beaucoup d‘autres endroits le long du littoral. Et a relevé la nécessité pour l’Etat du Sénégal de créer des plages artificielles.
«La création des plages artificielles élevées conduirait à un équilibre économique neutre (coût égal dégâts évités)», a indiqué le rapport «Economic and spacial study of the vulnerability and adaptation to climate change of coastal areas in Sénégal», fait au mois d’août et dont les résultats viennent d’être rendus publics. Selon la même source, «l’Etude à également exposé de sérieux problèmes des érosions côtières. Mais, elle a noté que des mesures correctives de court terme ont déjà été prises par les autorités et par conséquent, cet aspect n’a pas été poursuivi dans l’étude», a indiqué le document qui, souligne que «jusqu’en 2014, les programmes prévus n’avaient toujours pas commencé et la situation semble s’être empirée».
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