
En plus, les huttes en palissades de tiges de bambous, constituant l’essentiel des salles de classe, ne sont pas encore montées. A ces deux impairs, s’ajoutent les vannes du ciel qui ne se sont pas encore refermées. Il a encore plu des cordes cette veille de rentrée scolaire compromettant ainsi l’idée d’installer les tables bancs dans les abris provisoires. C’est dire que le slogan « ubi tey diang tey » a bien un coût.
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