
Maintenant, il faut assurer une meilleure maitrise de dépenses de personnels, aussi. Parce que des efforts importants ont été faits, parce que la masse salariale a évolué de plus de 100 milliards».
Pour preuve, poursuit le ministre, «cette année, nous serons à 526 milliards. L’année dernière, on était à 485 milliards. Il va être difficile d’aller au-delà de 526 milliards parce que toute la politique économique cesserait d’être crédible. Et l’objectif, c’est de pouvoir retourner devant la Communauté internationale en 2018, parce que c’est pour nous l’échéance qui nous semble la plus importante», a-t-il déclaré devant les parties prenantes de l’école.
Le débat économique doit tourner autour de ça.
Pour preuve, poursuit le ministre, «cette année, nous serons à 526 milliards. L’année dernière, on était à 485 milliards. Il va être difficile d’aller au-delà de 526 milliards parce que toute la politique économique cesserait d’être crédible. Et l’objectif, c’est de pouvoir retourner devant la Communauté internationale en 2018, parce que c’est pour nous l’échéance qui nous semble la plus importante», a-t-il déclaré devant les parties prenantes de l’école.
Le débat économique doit tourner autour de ça.
Quelle va être la capacité de l’Etat à pouvoir atteindre tous les objectifs qu’il s’est fixé ? Et de pouvoir retourner devant la communauté internationale. Parce que, jamais, dans l’histoire de notre pays, de 1960 à nos jours, la communauté internationale n’a offert autant à un gouvernement, à un président de la République. On a le sentiment au niveau du ministère de l’Economie et des finances que le Sénégal a fondamentalement changé», affirme Amadou Ba. Et de poursuivre : «Certes en allant au Groupe consultatif on avait déjà 2056 milliards. Les premiers qui nous ont précédé, en y allant avec 856 milliards sur la période 2008/2011, sont rentrés avec 1000 milliards, je n’ai pas le chiffre exact.
Mais, là, nous on est rentré avec 3 700 milliards. Ce qui est important, c’est que sur ces 3 700 milliards, les 1 900 milliards sont disponibles. Cela veut dire que le Sénégal a une fenêtre d’opportunité aujourd’hui extrêmement importante pour pouvoir entrer dans le cercle des grands, grâce au leadership du président Macky Sall. Je crois qu’on peut, peut-être, le voir avec la Banque mondiale et le Fmi, le Sénégal n’a plus de plafond d’endettement, mais cela ne signifie pas aussi qu’on peut s’endetter et ne pas maitriser ce qui va se passer», se réjouit Amadou Ba avec le président Macky Sall et quelques membres du gouvernement à ses côtés.
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