
«Il reste beaucoup de choses à faire, indique-t-il dans un entretien avec Le Quotidien, en marge des Journées cinématographiques de Carthage (Tunisie) dont il est le président du jury. D’abord mon premier challenge, c’est celui cinématographique.»
Alain Gomis poursuit : «Je ne suis pas un sportif de haut niveau. L’idée ce n’est pas d’accumuler des médailles pour faire une salle de trophées. Ce n’est pas ce qui m’intéresse. Comme tout artisan, j’ai beaucoup de progrès à faire encore pour essayer d’accéder un peu plus à ce que j’aimerais toucher.»
Plus précis, le réalisateur ajoute : «Si on arrivait à accompagne, à faire jusqu’à 5 films par an, mais pas dans 20 ans, c’est quelque chose auquel j’aimerais participer.»
À court terme, Alain Gomis promet de sortir un film l’année prochaine, en 2020. Le sujet ? «Je ne dis jamais de quoi il s’agit. Je dois être un petit peu superstitieux», raille-t-il.
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