Loin de toute polémique, le sens profond du projet de loi constitutionnel prévoyant l'élection simultanée d'un président et d'un vice-président a pour mérite de proposer une nouvelle manière d’organisation et d’exercice du pouvoir présidentiel au Sénégal mais les regrettables évènements du 23 juin 2011 nous ont privés d’un débat d’idées constructives pour le bien être de notre démocratie participative.
En effet, en guise de contre propositions concrètes et applicables par rapport a ce projet de loi, le 23 juin 2011 a été le théâtre d’actes chaotiques pittoresques, et affamant, aux mépris de la liberté et de la dignité d’autrui, du respect des lois et de l’état de droit, de la propriété privée et du bien public. L’opinion nationale et internationale a eu droit a des actes insurrectionnels désobligeants, belliqueux et bellicistes savamment orchestrés par une oligarchie de leaders politiques égocentrique, mégalomane, narcissique, amère, aigrie, isolée, en mal de reconnaissance et adepte de la critique facile et systématique du gouvernement. Divisés tant par leurs intérêts particuliers, leurs discours que par leurs méthodes, ces ténors de l’opposition ont beau jeu de donner des leçons à tout-va, de rédiger des analyses au vitriol, mais le corpus de leur idéologie politique respectif est creux et ne masque guère leur cohésion, qui n’est que de façade devant les objectifs de photos et des cameras car ces opposants d’acabit sont plus obnubilés, aveuglés, et assoiffés par la quête du pouvoir que par le soucis de l’unité national et de l’intérêt suprême de la nation.
En l’absence de programme politique clairement définis, le leitmotiv de ces comploteurs insurrectionnels était jusqu’à ce jour la dénonciation d’une chimère dévolution monarchique du pouvoir et nous nous réjouissons de la lettre ouverte du Ministre d’Etat Mr Karim Wade publiée le 3 juillet 2011. Ces propos clairs et concis ont le mérite de couper court pareille élucubration. D’un parlé sans équivoque, épris d’humilité et de respect d’autrui, il interpelle tout un chacun sur l’essentiel, à savoir la consolidation d’une démocratie participative apaisée pour affronter les défis de la paix et du développement économique et social du Sénégal avec toutes les appréhensions que cela suppose. Mais pour que ce soit véritablement une espérance réalisée, encore faut-il que tout soit mis en œuvre pour réduire les maux de notre société, renouer avec une croissance soutenue, libérer les énergies, favoriser l'esprit d'initiative et accorder une place prépondérante aux jeunes et aux femmes dans la gouvernance nationale et leur participation accrue dans les choses politiques, sociales, économiques et culturelles pour redonner un sens à notre aventure collective et un grand dessein au Sénégal.
De tels enjeux valent la peine que nous privilégions ce qui nous rassemble et non ce qui nous divise car la République Sénégalaise à besoin de toutes ses filles et de tous ses fils car dans ce nouveau Sénégal que nous appelons de tous nos vœux, personne ne saurait être de trop, et personne ne saurait souffrir d’ostracisme à cause de ses origines parentales.
Personne ne choisit là où il naît. La providence a voulu que nous naissions au Sénégal et/ou que nous soyons sénégalais. Ce pays mérite alors nos efforts et nos sacrifices. Nous le lui devons. Ce pays est notre pays, le pays de nos ancêtres et aussi le pays de nos enfants. Faisons-en le pays de nos ambitions et de nos destins communs. C’est pourquoi nous exhortons les uns et les autres à faire preuve de beaucoup de retenu et de sang froid, d’éviter les querelles intestines, et de ne pas succomber aux tentations de règlement de compte fratricide.
Pour la majorité présidentielle, et le PDS en particulier, il n’a jamais été question de promettre l’impossible mais de faire le possible et même d’avantage en fonction des ressources disponibles et d’être mobiliser aux côtés du Président de la République, Chef de l’Etat, Maitre Abdoulaye Wade afin de soutenir ses efforts pour l’accomplissement positive de son plan national de développement car c’est un homme en pleine mission ayant conscience qu’il doit des comptes à son peuple et tenant à dire que la confiance que son peuple n'a eu de cesse de lui témoigner, il n'entend pas la trahir.
C’est grâce aux jeux des dispositions constitutionnelles, qu’il a accédé à la magistrature suprême, avec la volonté et la détermination de poursuivre l'œuvre de construction d'un Etat fort, d'une Nation prospère.
Il s’est corps et âme engagé, avec le soutien du peuple, dans le projet de développement du Sénégal. Nous y avons mis toute notre énergie et nous avons récolté des fruits. Ces acquis, qui apparaissent comme une évidence aux plus jeunes d’entre nous et dont la valeur est inestimable, nous devons tous en être fiers aujourd'hui. Même si nous ne mesurons pas toujours comme il se doit leurs bienfaits pour la communauté nationale.
Certes, beaucoup reste à faire et beaucoup doit être amélioré mais nous devons toujours nous souvenir combien était ardu le long chemin vers la première alternance politique de notre pays, moment historique de la démocratie Sénégalaise dont nous devons tous en être fière au-delàs des clivages politiques et des querelles partisanes.
Nul ne doit et ne peut ignorer que toutes ces avancées, intervenues tout au long de la jeune histoire de notre pays, l'ont été dans de multiples difficultés. Et seuls peuvent comprendre, ceux qui avaient la main à l'ouvrage. Ce fut pour chacune d'elles, des batailles que nous avons engagées pour le développement économique et social de notre pays et qu'ensemble nous avons gagnées.
De l’avis de tout un chacun, slogan historique du Président de la République, Maitre Abdoulaye Wade, à savoir ‘‘ travailler toujours travailler encore travailler beaucoup travailler ‘‘reste d’actualité. Nous devons définitivement mieux nous organiser pour que nos efforts individuels et collectifs aboutissent à des réalisations effectives qui, en s'accumulant dans l'espace et dans le temps, assurent durablement le développement de notre cher pays. II nous faut désormais nous mobiliser, et prendre nos responsabilités en ces temps d'incertitude liée à la globalisation pour hisser notre pays parmi les tout premiers au Sud du Sahara, afin que le progrès économique et le bien-être social soient à la portée de tous.
A l’issue de l’élection présidentielle 2012, et sous réserve de la décision du Conseil Constitutionnel sur la validité de la candidature de Maitre Abdoulaye Wade, nous nous déterminerons en fonction des idées, des promesses et des programmes qui nous seront présentés par les différent(e)s candidat(e)s mais fort est de constater que son slogan historique, reste d’actualité. Nous devons définitivement mieux nous organiser pour que nos efforts individuels et collectifs aboutissent à des réalisations effectives qui, en s'accumulant dans l'espace et dans le temps, assurent durablement le développement de notre cher pays. II nous faut désormais nous mobiliser, et prendre nos responsabilités en ces temps d'incertitude liée à la globalisation pour hisser notre pays parmi les tout premiers au Sud du Sahara, afin que le progrès économique et le bien-être social soient à la portée de tous.
À Karim Wade
C’est avec un immense plaisir que nous vous adressons cette lettre espérant qu’elle vous trouve dans une parfaite condition de santé et un moral en fer comme d’habitude. Mr Wade, vous nous aviez promis et maintenant prouvé que votre vision d’un Sénégal développé et moderne est juste à l’horizon. Avec votre charisme naturel qui traduit votre trait de « Self- made and Born leader », Vous avez montré votre capacité de le traduire en actes, en restant ‘ emotionally intelligent, courtois, respectueux, calme, humble concrétisant les projets que le président vous a confié discrètement et par ce biais démontré vos humbles ambitions pour notre cher pays et surtout votre symbolique don de leadership. Il nous semble donc, que même si vous n'avez pas l'intention de vous positionner pour diriger le pays, il faudrait que nous, qui avons les mêmes ambitions pour le Sénégal et qui voulons la consolidation des œuvres du Président, nous arrivions à vous convaincre.et vous implorer à vous d’abord et à tous les sénégalais d’Amérique , à nos parents et proches que seul vous Karim Meissa wade, pouvez prétendre à la direction du pays, vous êtes le seul sénégalais qualifie à cette heure .Nous sommes donc persuades que la Génération du concret constitue une nouvelle pensée en rupture avec la pratique classique de la politique politicienne, en même temps une réponse à la préoccupation des populations sénégalaises à travers sa nouvelle vision de la politique, son pragmatisme ,son réalisme et s surtout nous insistons son exemplaire discernement rationnel
Laissons donc Maitre Abdoulaye Wade « Travailler et Continuer à travailler et si Dieu le tout puissant dit que Karim Meissa Wade «Is the chosen one »’ then so be it.
Association Jeunesse Espoir
Coordinatrice Générale, Section Fédérale du PDS en Géorgie/USA
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