Monsieur le Premier Ministre,
Tout d’abord, mes félicitations pour nous avoir débarrassé de ce pilleur et assassin de Macky Sall. Avec vous, je félicite également tous les Sénégalais, car le peuple voulait en finir avec les méthodes de l’ancien régime et a, de ce fait, voté pour quelqu’un que beaucoup ne connaissaient même pas, sur votre sage et opportune suggestion. Ma lecture de ce qui s’est passé au lendemain des élections présidentielles au Sénégal n’était pas que le peuple croyait en vous, mais qu’il en avait suffisamment assez pour ne pas dire, « marre », des coups fourrés de l’ancien régime, et vous a soutenu parce que vous étiez le seul encore crédible, dans cette marre de « faux » opposants.
Que suis-je en train d’insinuer ?
Je veux simplement dire que les Sénégalais ont mûri et avaient des attentes claires et seront encore plus exigeants dans l’avenir. Oui, aidons les paysans, diminuons le train de vie de l’État, posons des jalons sûrs pour l’essor du Sénégal, de l’Afrique et j’en passe. Ma conviction est que l’attente la plus partagée est la réforme de notre justice, que tous les Sénégalais y soient égaux, et la reddition des comptes ; que ceux qui ont fauté payent lourdement. Cela étant, je pense que même vous, perdriez les élections à venir si ces dernières attentes ne sont pas satisfaites dans un temps acceptable ou assez rapidement.
Monsieur le Premier Ministre, ce n’était pas simplement un changement de régime au Sénégal en 2024, c’était une REVOLUTION !
C’est en cela que je suis amené à croire, dans mon impétuosité et avec toute ma déférence, que le gouvernement que vous dirigez doit prendre sa mission à cœur, (si je peux encore me permettre), et abandonner temporairement avec intelligence, la séparation des pouvoirs, dans le respect des droits de tous les citoyens bien sûr, réformer la justice et accélérer les dossiers qui ont motivé les Sénégalais à voter pour un « Quidam » ou « presque » inconnu.
Mr le Premier ministre, les Sénégalais commencent à souffrir du « Yoole, » le temps est aux reformes.
Rappelez a PASTEF qu’ils ne sont plus en campagne électorale, qu’ils ont le pouvoir entre leurs mains !
Monsieur le Président de la République,
En tant que Chef du système judiciaire dirigez nous cette justice qui a beaucoup fautée pendant le règne de votre prédécesseur, au moins jusqu’à ce que les réformes institutionnelles attendues soient implémentées. Si vous n’accélérez pas la cadence, l’inefficacité du système judiciaire actuel entraînera l’éviction de PASTEF lors des prochaines élections. Nous le devons à nos citoyens tués, démembrés et défigurés par Macky ! Mais aussi à nos citoyens qui, dans même des cas privés, ont été mis en prison par des juges qui avaient d’autres préoccupations que d’appliquer la loi !
Concernant les forfaits de votre prédécesseur, il ne les a pas commis seul ; il avait le soutien de certains dans la justice et dans nos forces de défense et de sécurité. Ces individus doivent être licenciés, des plaintes déposées contre eux et la justice doit être implacable.
Monsieur le Président, avec votre majorité à l’assemblée, de nouvelles lois devraient être adoptées chaque semaine pour mettre le Sénégal sur la voie de l’équité, la voie du développement.
Commencez par annuler l’amnistie et augmentez la transparence dans l’utilisation de l’argent du contribuable en éliminant les fonds secrets au sein des agences gouvernementales, et en encadrant ceux qui vous sont dédiés, comme le font les Français et les Américains.
PASTEF avait promis de nous débarrasser des fonds secrets, mais nous ne vous entendons plus en parler. Qu’en est-il de l’article 80, voulez-vous garder légale cette insulte qui pourrait encore être instrumentalisée à l’avenir ?
Qu’en est-il de la réforme pour réglementer l’argent qui circule dans nos mosquées, nos Tarikhas, trop chaud pour vous ?
Monsieur le Président, êtes-vous en train de changer de points de vue ou prenez-vous juste votre temps pour reformer ? Si c’est le dernier cas, vous me permettrez de vous rappeler que les Sénégalais sont en train de maintenir leur souffle et pour cause la cadence doit être accélérée !
Monsieur le président, nous avons besoin d’actions, pas de discussions, de théories sur les raisons des lenteurs. Inspirez-vous un peu de Trump (quelque chose que je ne pensais jamais pouvoir dire à propos de cet inculte). Le fait que Seydina Fall Bougazelli soit encore en liberté au Sénégal est l’exemple parfait de la lenteur qui caractérise votre régime, l’exemple que les Sénégalais sont en droit de demander mieux, qu’ils sont en droit de s’offusquer. Accélérez le pas !
Que suis-je en train d’insinuer ?
Je veux simplement dire que les Sénégalais ont mûri et avaient des attentes claires et seront encore plus exigeants dans l’avenir. Oui, aidons les paysans, diminuons le train de vie de l’État, posons des jalons sûrs pour l’essor du Sénégal, de l’Afrique et j’en passe. Ma conviction est que l’attente la plus partagée est la réforme de notre justice, que tous les Sénégalais y soient égaux, et la reddition des comptes ; que ceux qui ont fauté payent lourdement. Cela étant, je pense que même vous, perdriez les élections à venir si ces dernières attentes ne sont pas satisfaites dans un temps acceptable ou assez rapidement.
Monsieur le Premier Ministre, ce n’était pas simplement un changement de régime au Sénégal en 2024, c’était une REVOLUTION !
C’est en cela que je suis amené à croire, dans mon impétuosité et avec toute ma déférence, que le gouvernement que vous dirigez doit prendre sa mission à cœur, (si je peux encore me permettre), et abandonner temporairement avec intelligence, la séparation des pouvoirs, dans le respect des droits de tous les citoyens bien sûr, réformer la justice et accélérer les dossiers qui ont motivé les Sénégalais à voter pour un « Quidam » ou « presque » inconnu.
Mr le Premier ministre, les Sénégalais commencent à souffrir du « Yoole, » le temps est aux reformes.
Rappelez a PASTEF qu’ils ne sont plus en campagne électorale, qu’ils ont le pouvoir entre leurs mains !
Monsieur le Président de la République,
En tant que Chef du système judiciaire dirigez nous cette justice qui a beaucoup fautée pendant le règne de votre prédécesseur, au moins jusqu’à ce que les réformes institutionnelles attendues soient implémentées. Si vous n’accélérez pas la cadence, l’inefficacité du système judiciaire actuel entraînera l’éviction de PASTEF lors des prochaines élections. Nous le devons à nos citoyens tués, démembrés et défigurés par Macky ! Mais aussi à nos citoyens qui, dans même des cas privés, ont été mis en prison par des juges qui avaient d’autres préoccupations que d’appliquer la loi !
Concernant les forfaits de votre prédécesseur, il ne les a pas commis seul ; il avait le soutien de certains dans la justice et dans nos forces de défense et de sécurité. Ces individus doivent être licenciés, des plaintes déposées contre eux et la justice doit être implacable.
Monsieur le Président, avec votre majorité à l’assemblée, de nouvelles lois devraient être adoptées chaque semaine pour mettre le Sénégal sur la voie de l’équité, la voie du développement.
Commencez par annuler l’amnistie et augmentez la transparence dans l’utilisation de l’argent du contribuable en éliminant les fonds secrets au sein des agences gouvernementales, et en encadrant ceux qui vous sont dédiés, comme le font les Français et les Américains.
PASTEF avait promis de nous débarrasser des fonds secrets, mais nous ne vous entendons plus en parler. Qu’en est-il de l’article 80, voulez-vous garder légale cette insulte qui pourrait encore être instrumentalisée à l’avenir ?
Qu’en est-il de la réforme pour réglementer l’argent qui circule dans nos mosquées, nos Tarikhas, trop chaud pour vous ?
Monsieur le Président, êtes-vous en train de changer de points de vue ou prenez-vous juste votre temps pour reformer ? Si c’est le dernier cas, vous me permettrez de vous rappeler que les Sénégalais sont en train de maintenir leur souffle et pour cause la cadence doit être accélérée !
Monsieur le président, nous avons besoin d’actions, pas de discussions, de théories sur les raisons des lenteurs. Inspirez-vous un peu de Trump (quelque chose que je ne pensais jamais pouvoir dire à propos de cet inculte). Le fait que Seydina Fall Bougazelli soit encore en liberté au Sénégal est l’exemple parfait de la lenteur qui caractérise votre régime, l’exemple que les Sénégalais sont en droit de demander mieux, qu’ils sont en droit de s’offusquer. Accélérez le pas !
Papa Massaer Niang
Auteur : Tirons les Rideaux.
Auteur : Tirons les Rideaux.
5 Commentaires
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On ne va pas vous foutre la paix parce que un vulgaire populiste nous a tympanise pendant 10 ans connaissant tous les défis du pays , il nous a promis SOLUTIONS à nos problèmes. De toute façon, il n’aura pas le choix, syndicats et forces vives de la nation devant lui , il va falloir appliquer les SOLUTIONS.
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-59
Signalier
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il y a 2 semaines (19:45 PM)Sonko et Diomaye doivent savoir qu'ils ont en face des opposants milliardaires qui ont vide les caisses de l'état.
Ils alimentént toujours une presse mercenaires pour foutre le bordel dans le pays...
Les sénégalais sont patients et nous savons que la justice doit prendre le temps nécessaire pour instruire les dossiers de détournements...mais fait vite car la patience des sénégalais aura une limite
Wassalam
Sissokho Ockland
il y a 2 semaines (00:45 AM)Yalla dou fay wakh bayi dieuff
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