
Dissolution annoncée du commissariat général au pèlerinage. L’information, révélée par un quotidien de la place, témoigne encore d’un procédé propre au président Macky Sall : le pourrissement dont il a toujours fait montre, dans la gestion des crises multiples qui secouent le pays. Médecin, après la mort…
En effet, alors que des voies autorisées se sont élevées pour dénoncer la gestion du dossier du pèlerinage par le commissariat général au pèlerinage, le président Macky Sall a fait la source oreille et maintenu, à leurs postes, les responsables incriminés et dont l’ «excès» de compétences a eu des conséquences dramatiques à la fois sur la santé et le moral des pèlerins sénégalais, des personnes âgées pour la plupart.
Aujourd’hui, près de deux mois après, le président Macky Sall se rappelle au bon souvenir de ses compatriotes, en annonçant de la dissolution de la structure incriminée.
En effet, alors que des voies autorisées se sont élevées pour dénoncer la gestion du dossier du pèlerinage par le commissariat général au pèlerinage, le président Macky Sall a fait la source oreille et maintenu, à leurs postes, les responsables incriminés et dont l’ «excès» de compétences a eu des conséquences dramatiques à la fois sur la santé et le moral des pèlerins sénégalais, des personnes âgées pour la plupart.
Aujourd’hui, près de deux mois après, le président Macky Sall se rappelle au bon souvenir de ses compatriotes, en annonçant de la dissolution de la structure incriminée.
Laquelle, faudrait-il le rappeler, a laissé en rade des pèlerins dans le hangar de l’aéroport de Dakar, et menti sur le nombre des victimes sénégalaises de la tragédie de Mouna.
Un limogeage du commissaire général et de son équipe, paraphé au bas d’une feuille, aurait alors suffi à apaiser les familles dont les proches ont eu besoin d’un suivi psychologique après avoir été privés d’un voyage aux lieux saints de l’islam, des années d’économies perdues, qui risquent de ne pas être remboursées. A ce drame psychologique, est venu se greffer le suspense entretenu volontairement sur le nombre exact des morts sénégalais de Mouna, livré au compte-gouttes, par des autorités cachotières.
Or, s’il s’agit de dissoudre le commissariat général au pèlerinage dans le seul but de créer une nouvelle structure élargie, beaucoup plus budgétivore, qui remplisse le même rôle, autant laisser cette coquille (vide de compétence) en l’état, puisque l'Etat ne se soucie guère du service après vente.
Un limogeage du commissaire général et de son équipe, paraphé au bas d’une feuille, aurait alors suffi à apaiser les familles dont les proches ont eu besoin d’un suivi psychologique après avoir été privés d’un voyage aux lieux saints de l’islam, des années d’économies perdues, qui risquent de ne pas être remboursées. A ce drame psychologique, est venu se greffer le suspense entretenu volontairement sur le nombre exact des morts sénégalais de Mouna, livré au compte-gouttes, par des autorités cachotières.
Or, s’il s’agit de dissoudre le commissariat général au pèlerinage dans le seul but de créer une nouvelle structure élargie, beaucoup plus budgétivore, qui remplisse le même rôle, autant laisser cette coquille (vide de compétence) en l’état, puisque l'Etat ne se soucie guère du service après vente.
En procédant au remplacement des personnes qui trônent à la tête de la structure, ce qui aurait dû être fait depuis longtemps, le chef de l’Etat gagnerait à bien penser le profil du poste, qui pour ne fois, devra être départie de toute considération ethnique, clanique voire politique...
Mais auparavant, aurait-il été utile, pour des soucis de formes, que le commissaire «Général» fut convoqué devant les députés de l’Assemblée nationale, pour rendre compte de sa gestion, des manquements notoires et dysfonctionnements relevés dans l’organisation du dernier pèlerinage aux lieux saints de l’islam.
Avons-nous sans doute en mémoire, que l’institution parlementaire au Sénégal, qui traverse une crise politique grave, se bat pour sa survie. Le président Macky Sall, comme dans le dossier du pèlerinage, interviendra seulement biens des semaines après, pour trancher le différend regrettable au sein d’un parlement qui refuse tout phagocytage destiné à faire de lui une assemblée des députés du président Macky Sall, le médecin qui intervient, toujours, après la mort. Médecin, après les morts de Mouna….
Mais auparavant, aurait-il été utile, pour des soucis de formes, que le commissaire «Général» fut convoqué devant les députés de l’Assemblée nationale, pour rendre compte de sa gestion, des manquements notoires et dysfonctionnements relevés dans l’organisation du dernier pèlerinage aux lieux saints de l’islam.
Avons-nous sans doute en mémoire, que l’institution parlementaire au Sénégal, qui traverse une crise politique grave, se bat pour sa survie. Le président Macky Sall, comme dans le dossier du pèlerinage, interviendra seulement biens des semaines après, pour trancher le différend regrettable au sein d’un parlement qui refuse tout phagocytage destiné à faire de lui une assemblée des députés du président Macky Sall, le médecin qui intervient, toujours, après la mort. Médecin, après les morts de Mouna….
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