
Cette mesure ne fera pas grand-chose pour éviter ce que Freedom House, organisme non gouvernemental, qualifie de "fort sentiment que la surveillance s'est étendue ces dernières années" en Ouganda.
Plus tôt cette année, le gouvernement ougandais a été forcé de nier avoir piraté le groupe de discussion WhatsApp du député de l'opposition Bobi Wine.
Dans le cadre du système proposé par la police, les résidents seraient ajoutés à des groupes sur les plateformes de messagerie où ils pourraient signaler les crimes aux autorités locales, ce qui réduirait leur "temps de réponse" et ainsi leur permettra d'intervenir rapidement sur le terrain.
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