
Le gouvernement guinéen dominé par les militaires a interdit quatre radios et une télévision privées très suivies dans le pays, indique un communiqué du ministère de l'Information publié mercredi.
Les autorités ont retiré les agréments d'exploitation des radios FIM FM, Radio Espace FM, Sweet FM, Djoma FM et de la télévision Djoma TV, dit cet arrêté. Il invoque un "non-respect du contenu des cahiers des charges", sans plus de précision. Cette interdiction survient dans un contexte de sévères restrictions imposées aux médias par la junte au pouvoir depuis 2021.
"La répression des médias doit cesser !", s'est insurgée, sur X (anciennement Twitter), l'ONG Reporters sans frontières, rappellant que les autorités s'étaient engagées auprès d'elle à débloquer "une situation déjà dramatique" pour les médias.
Quatre stations de radios privées font l’objet d’un brouillage constant depuis novembre 2023, trois chaînes de télévision privées sont quasiment inaccessibles, et au moins trois sites d’information ont été bloqués pendant plusieurs semaines sans explication en 2023, rappelle l'ONG sur son site internet.
En outre, les autorités ont également imposé fin 2023 et début 2024 des restrictions d'accès à internet et détenu un responsable syndical de la presse pendant plus d'un mois, à l'origine d'une grève générale.
Le pays est classé 78e sur 180 pays, selon le classement 2024 de RSF pour la liberté de la presse.
Les autorités ont retiré les agréments d'exploitation des radios FIM FM, Radio Espace FM, Sweet FM, Djoma FM et de la télévision Djoma TV, dit cet arrêté. Il invoque un "non-respect du contenu des cahiers des charges", sans plus de précision. Cette interdiction survient dans un contexte de sévères restrictions imposées aux médias par la junte au pouvoir depuis 2021.
"La répression des médias doit cesser !", s'est insurgée, sur X (anciennement Twitter), l'ONG Reporters sans frontières, rappellant que les autorités s'étaient engagées auprès d'elle à débloquer "une situation déjà dramatique" pour les médias.
Quatre stations de radios privées font l’objet d’un brouillage constant depuis novembre 2023, trois chaînes de télévision privées sont quasiment inaccessibles, et au moins trois sites d’information ont été bloqués pendant plusieurs semaines sans explication en 2023, rappelle l'ONG sur son site internet.
En outre, les autorités ont également imposé fin 2023 et début 2024 des restrictions d'accès à internet et détenu un responsable syndical de la presse pendant plus d'un mois, à l'origine d'une grève générale.
Le pays est classé 78e sur 180 pays, selon le classement 2024 de RSF pour la liberté de la presse.
5 Commentaires
Amsa
En Mai, 2024 (16:13 PM)Il faut critiquer dans le bon sens, les insultes et provocations sont l'armes des faibles, la liberte de presse d'une bonne presse est vitale pour un pays.
JUB, JUBBAL. JUBBANTI.
Reply_author
En Mai, 2024 (23:34 PM)Ignorant que tu es.
Nianthio
En Mai, 2024 (18:41 PM)Moi j'ai pitié de certains parents,au lieu d'avoir des enfants cités en exemples dans les bonnes œuvres, malheureusement ils ont des enfants insulteurs, suceurs de culs de politiciens.
Votre leader jubbul, il est pervers( cité dans des affaires de mœurs) et mêle dans du foncier. La 1ere fois un 1e ministre est aussi polémique. Var rek.
Ce qui est marrant,lui et ses éléments sont entrain de faire disparaître ses vidéos dans YouTube. Malheureusement moi j'en ai à go go dans une clé usb et un disque externe
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