
Juste au lendemain du dépôt de sa candidature à la Commission électorale indépendante (CEI), Alassane Ouattara a présenté au téléspectateur de la télévision nationale les effets de sa politique menée depuis plus de quatre ans et demi à l’issue de la grave crise postélectorale que le pays a connu entre novembre 2010 et avril 2011.
Le président sortant, candidat à sa réélection est revenu sur les questions nécessaires pour le relèvement de la nation ivoirienne à savoir le pardon et la réconciliation après les années noires et la crise poste électorale de 2010-2011.
ADO a relevé le retour à une croissance forte qui fait du pays, selon lui, une référence dans la sous-région et même à travers le monde. Il a énuméré les écoles et les collèges construits, la gouvernance rigoureuse et responsable, l’appui à l’entreprenariat et le souhait de voir émerger des champions économiques ivoiriens…
Le candidat à l’élection présidentielle du 25 octobre prochain affiche sa volonté de poursuivre les efforts déjà engagés.
«Des efforts qui se traduisent par des signes tangibles d’un retour à la normal: ce sont les administrations qui sont réimplantées dans tout le pays, des ponts, des centrales électriques et des routes construites un peu partout pour le bien-être des populations, des réformes dans le secteur agricole, une couverture médicale universelle en devenir et, toujours selon lui, 1,3 millions d’emplois créés sous son quinquennat», a-t-il dit.
Le président ivoirien estime donc que les choses avancent et progressent et il n’est pas question de s’arrêter en si bon chemin. L’effort doit être poursuivi. C’est pour cela d’ailleurs qu’il sollicite le renouvellement de sa confiance lors de la prochaine présidentielle.
Et justement par rapport à l’élection présidentielle, Alassane Ouattara demande: «exprimer votre choix et faites entendre votre voix».
ADO qui sollicite un deuxième mandat à la tête de la Côte d’ivoire, espère être réélu dès le premier tour de la présidentielle. D’ailleurs, les sondages le donnent pour grand favori du scrutin devant une opposition ivoirienne qui ne sait pas encore sur quel pied danser.
0 Commentaires
Participer à la Discussion